It would've been a lonely death without you here.

Regard soudain attristé par la possibilité. Oui, il t'a manqué. Comment dit-on ces mots ?

You're the first one who ever came to look after me.

Tu ravales rapidement des larmes qui revenaient, espérant que la lumière ne s'est pas reflété dans les gouttes qui avaient commencé à se former, pour ne pas te trahir. Tu roules sur le côté, reviens te coller à lui, en attrapant cette fois son visage pour tourner sa tête vers toi. Ton front trouve le sien, yeux clos, juste apaisé par le rythme de sa respiration et sa présence si proche. L'oasis en plein désert, le héros solitaire et vaillant que le toi de dix ans avait imaginé bien des années plus tôt.

Les mots ne passeront pas tes lèvres, parce qu'il y a encore du progrès à faire, mais tu sais qu'il les entend.

Thank you.

Mage de tes pensées également, il perçoit tout - et si ça devrait te terrifier, ça n'est pas le cas. Il y a même un certain apaisement à cette idée. Il sait tout, plus que personne à ton sujet.

Et il est venu quand même. Ce n'est pas le mot sacré qui commence par L, mais c'est tout pareil pour toi.

Only one actually. If I landed my fist on your jaw that fateful day, maybe I would've impressed you more. You were talking shit and you deserved that punch.

If it's any comfort, the shotgun puts me on my ass too.

I'm absolutely thrilled to know that you're using Shrek references to explain your relationship with Ezra.

Kasmeer a écrit:Ce sont deux mondes qui ne sont pas censés se rencontrer, deux univers contraires, deux étoiles opposées. Elle peine à les mettre ensemble sur le même plan, les deux aussi dissociés que ses deux identités, l’une aux flash des paparazzis et l’opulence des soirées corpos, l’autre au sable des Badlands et aux jam sessions sans fin de l’appart de Japantown. L'un est cette bouffée d’air fraîche dans un royaume d’hypocrisie, celui qui maîtrise si bien les codes corpos qu’il les écrase sous le talon de ses chaussures, le seul capable de rallumer la lumière dans ces nuits parfois trop floues et trop sombres pour que Kasmeer s’en souvienne. Et Zola est Zola. Ce sera toujours le centre de son univers, que ce soit sous le froid de l’Alaska ou dans un booth confortable de l’Atlantis. Zola est son frère, non pas parce qu’iels partagent le même sang ou le même patronyme récupérés des nomades, mais parce qu’iels se sont choisi·e·s et se choisissent jour après jour en tant que fratrie. Elle donnerait tout pour lui, comme il donnerait tout pour elle.

Roman a écrit:i may am a little bit in debt with some bad people who think i "stole their coke"
which i didn't by the way
[how did you end up being tangled in some "stolen coke" affair???]
that's part of my charm i guess
if i had some "coke" would you like to do some or no