kid from nowhere
reckless behaviour | unwanted child | you're a bad idea, but i like bad ideas | but on good days, i'm charming as fuck | i caught feelings ; like a damn amateur | the gentle art of making enemies | you either have my back, you're at my side or you're in my way | agathokakological | électron libre | are you flirting or starting a fight? | how can I trust you? you can't. | if karma doesn't hit you, I fucking will | anyway sorry I sound really gay and bitter | he smelled of strawberries and depression | born with an insatiable appetite for destruction | ass(assin) | unfuck you or whatever | dear death, i'm ready | yeah it's dangerous, that's why it's fun | i might be bad but i'm perfectly good at it | my last words will probably be sarcastic | like he's smart, but oh so stupid | do you think ants have feelings? | please, will you dance with me in the dark? | i just wanted to be important to someone
how many must die before you break?
Tu sais, t'étais qu'un gosse, Riley.
Tu pouvais pas comprendre. Ta mère était pas là, t'avais trois sœurs que tu te sentais en droit de protéger. Tu pouvais pas comprendre. T'as fait ce qu'il fallait. T'as pas attendu qu'on te dise qu'ils avaient retrouvés son corps dans le caniveau après des années à cracher la bouteille comme les baffes. Elle était pas une mère. Une génitrice. Pas une mère. Mais t'as jamais vraiment eu de mère, au final. Même les nomades qui vous ont récupérés, c'était pas des parents. Il t'a fallu longtemps, pour piger ça. Il t'a fallu longtemps pour faire le deuil de trucs que tu connaissais même pas. Il t'a fallu encore plus de temps pour faire confiance aux visages singuliers qui t'appréhendaient comme un animal en cage, furieux, fatigué. Apeuré, en réalité. T'avais juste peur. Gamin d'à peine la dizaine passée, qui se serait mis en travers de n'importe qui pour protéger ses adelphes. Petit teigneux, grande gueule et déjà tellement en colère. T'en voulais au monde entier, tu savais même plus qui frapper.
Tu savais pas à qui tu devais en vouloir pour toute cette colère, tu savais pas d'où venait ce chagrin quand tu regardais les étoiles, les doigts dans le sable, quand t'as suffisamment fait confiance pour laisser la plus jeune dans les bras de quelqu'un d'autre. T'avais la dizaine passée et t'avais déjà épuisé toutes les larmes que t'avais, semblait il. T'avais déjà les traits d'un adolescent et plus d'un enfant, ton innocence morte à coup de bouteilles et de baffes délivrées. Tu n'étais plus un gosse, tu pleurais en silence pour des chimères abandonnées, tu étais déjà trop fatigué, et Night City apparaissait à peine dans ta vie.
Quand t'es passé à peine adolescent, t'étais déjà prêt à conquérir le monde ; comme si tu le pouvais. Il t'avait suffit d'une étoile et d'un nouveau patronyme pour avoir envie de conquérir l'univers. Comme si tu pouvais le faire. Les attentes étaient plus basses, les rêves reconstruits, sur un château de cartes certes, fondations branlantes et fissurées par l'asphalte brûlant, mais ils étaient là. Dans les morceaux de sourire la première fois que t'as conduit la moto, la première fois que t'as réussi une course solo. T'étais une bonne mule, t'étais un bon soldat pour les nomades, pour tout le monde. On t'aimait bien.
Tu rapportais du pognon. Plus que tu n'en coûtais aussi. Tu étais de la famille, et on sait que ça t'a déchiré quand on a envoyé tes sœurs en ville pour leur sécurité, pour leur avenir. La grande promettait gros, et les deux plus jeunes, elles étaient inséparables. C'était le bon deal. Celui qui fait pleurer, celui qui fait mal. Mais c'était le bon choix. Tu retournais les voir, tu te baladais à Night City de temps en temps. T'avais envie d'y vivre, d'y faire ton trou. En attendant, t'en as vécu des enterrements. T'en as vécu des soirées noires et des cadavres chauds dans tes bras, bien trop pour un gosse. T'as connu la mort avant même de goûter à la vie, comme un whisky trop sec servi acide.
La mort était toujours à portée, comme une compagne de voyage atone et pourtant bruyante, trop intrusive. Tu pensais pas que Night City porterait autant la mort que le sable que tu connaissais si bien. Petits boulots crasseux, à traîner les late night shift jusqu'à 6h du matin, quand la ville s'éveille, tu t'écrasais au sommeil. Tu cumulais les emmerdes, les dettes, à essayer de te tenir un toit sur la tête en miroitant une vie plus belle quand t'étais au bas de l'échelle. Tu sais pas trop comment t'as fini par vendre ton corps, ça sonnait presque comme une évidence, au final.
Etait-ce la misère ou la solitude? Tu t'en souviens plus, et c'est pas un chapitre dont tu parles beaucoup. T'as pas honte d'avoir traîné ton corps sous toutes les mains. T'as fait ce qu'il fallait pour survivre, en continuant de filer un coup de main à la famille. Quand tu as arrêté de trouver l'extase dans les draps, tu les trouvais dans les balles qui touchaient leur cible, le bruit des explosions et l'odeur du métal brûlé. T'as connu l'amour aussi, celui qui fait mal, celui qui brise, et t'en parles pas vraiment non plus de ça. D'à quel point ça a été l'un des deuils les plus difficiles de ton existence, d'à quel point ça faisait mal de ne pas être assez, d'être perçu aussi froidement que ton propre reflet dans le miroir. C'était les conséquences de tes propres actes manqués, comme un renvoi de tes insécurités, de tes erreurs, du sang sur tes doigts. T'as enchaîné les rendez-vous, les coups d'un soir, t'as abandonné. C'était peut-être pas pour toi, finalement.
Et il y a eu des voyages. Un besoin de ne pas crever au fond du caniveau sans avoir vécu et découvert le monde. Tu as commencé par cette longue croisière d'un an à traverser les Etats-Unis sur ta moto, pour un paquet, pour une mission banale lancée par les nomades, par la famille. Rien de grandiose. Les autres voyages étaient différents : contrats outre atlantique, vacances sur le vif d'une envie, juste parce que tu le pouvais enfin. La misère écartée pour une bribe de richesse qui te suffisait, éloignait les résidus d'une enfance passée à craindre l'affection comme l'ignorance.
T'as rencontré celle qui allait changer ta façon de penser, de viser ton ambition non plus comme une comète superstellaire qui passait trop vite devant tes yeux mais bien comme une étoile à saisir. Des années de mentorat, à jongler entre les contrats qui te ramenaient plus proche du soleil et les heures à veiller sur les instructions limpides et à écouter les histoires de vie qui prenaient tout leur sens depuis ses lèvres à elle. Ton temps était divisé, peut-être trop pour un seul homme, à surveiller du coin de l'oeil tes deux petites soeurs. La première à la tête enflammée, prête à la guerre et veillant pourtant si religieusement sur la cadette. Petite cadette pour qui tu aurais ramené le monde dans le creux de ta paume, morceaux d'histoires bridés dans des babioles que tu retrouvais, des disques et des vinyles, des sessions de musique jusqu'à pas d'heure.
Y'a eu des hauts, des bas, une vie de misère et quelques gloires, pas mal de succès et des échecs plus minces, t'as oublié de regarder vers le ciel si souvent que tu voyais que la crasse infligée sous tes boots. Tout devenait sourd à la longue, toi-même tu devenais sourd à tes propres idées, tes propres pensées. Et puis t'as trouvé un but, un truc à quoi t'accrocher, un nouveau projet. Quelque chose de fou, poussé par une ambition qui voulait plus que le petit taff de merc. Tu as toujours du mal à avouer que tu aimes tuer, que tu aimes voler, que tu aimes piller et saboter, pourtant le sourire trompe pas. Tu veux pas raccrocher cette envie sanguine et froide, non.
Alors t'achètes l'Atlantis. Ancien mythe en bleu et en jaune, deux étages à rénover, un que tu manies pour la foule légale, et l'autre qui est pour ton deal. Tu te réconcilies avec ta jumelle, d'années de colère et de venins crachés pour des idéaux manqués. Tu tapes la main sur la table, tu ouvres ce truc et tu pries pour que ça marche, que les institutions et les apprentissages ne soient pas vains. Tu signes le plus gros chèque de ton existence le lendemain de l'ouverture, et tu deviens autre chose. Mieux ; une version de toi-même que tu n'avais pas envisagé jusqu'alors. T'arrives même à accéder à ce rêve de gosse : grimper dans l'espace pour un contrat.
C'est con que le voyage se soit terminé dans une chute libre à 90 000 pieds.this city is gonna kill us babe
✚ souffre d'
hyperactivité, condition qui lui donne beaucoup de fil à retordre quand il doit juste attendre ; de même, il souffre d'
hypermnésie et le fardeau de se souvenir d'absolument tout dans les moindres détails, d'un détail dans un décor à une intonation de voix
✚ suite à un raid, plus jeune, il est tombé sur une paire de
kukris qu'il a gardé puisque personne d'autre semblait en vouloir ; il a appris à s'en servir avec les années, et est désormais un excellent
combattant quand il s'agit de se battre avec
✚ il est un
collectionneur d'œuvres d'art, et saute sur toutes les occasions disponibles de disposer de ses talents de
voleur pour pouvoir en récupérer
✚ passionné par la
musique, il se trouve être un excellent
guitariste et batteur, avec une jolie petite collection de guitares
✚ extrême
maladresse sociale, il se demande continuellement comment il a réussi à en arriver là où il est, il est du genre
brut de décoffrage, à ne pas toujours prendre des gants
✚ petite passion pour les
fusils à pompe et un plaisir coupable pour les
mitraillettes, même s'il n'en utilise que très rarement, préférant malgré tout ses
armes cybernétiques et son révolver, toujours harnaché à sa cuisse comme une menace constante.
✚ marques familiales instaurées sur la peau, un
serpent qui s'enroule autour de sa cuisse droite symbole de cette nouvelle famille, et l'ombre d'un
crâne de cheval sur l'avant bras gauche.
✚ collectionne les
céréales, les différentes marques, les versions alternatives ; il met ça sur le compte qu'il en a jamais eu étant gamin
✚ s'il possède deux très belles quadra - une pour la ville, l'autre pour les badlands - il passe néanmoins plus de temps sur sa
moto ; une Yaiba Kusanagi CT-3X orange pétante qui passe pas inaperçu, pour son plus grand plaisir
✚ amateur de tarot en secret, il sait
tirer les cartes et possède toujours une carte sur lui, qui change en fonction des jours, toujours planquée dans la poche intérieure de sa veste
✚ style
techwear toujours sur les épaules et dans le coeur, il aime la praticité et le confort mêlé au style ; mais il n'est pas rare de le voir en jean et t-shirt délavé dans la rue, ou encore en costume quand il est à l'Atlantis
✚ passionné de
parkour, quand il n'est pas en train de claquer quelques cordes de guitare ou de trouver encore le sommeil, il est pas rare de le voir grimper aux immeubles.
✚ il s'est déjà retrouvé à passer
quelques nuits en prison, complétant son casier judiciaire de vols et autres crimes du type
✚ fume depuis très longtemps, aussi longtemps qu'il sait tenir un flingue, il s'essaye à la
cigarette électronique pour réduire sa consommation - c'est ce qu'il dit du moins, il aura du mal à avouer qu'il aime juste énormément le goût menthol et le goût framboise
✚ excellent cuisinier et pas mauvais pâtissier du tout, il adore être en cuisine ; il est le genre à débourser des sommes folles pour avoir de bons ingrédients et préparer des repas qualitatifs
✚ si l'anglais est sa langue maternelle, il a très vite appris
l'espagnol, le français et le japonais qu'il parle couramment ; il possède quelques bases rapides en allemand et en chinois
✚ loin de s'en cacher, il se sait être un très grand fan de sa petite sœur et de ce qu'elle fait musicalement, un peu un
glitterz numero one dans l'âme, finalement
✚ il lui arrive, de temps en temps, de juste prendre sa voiture et
passer une nuit à la belle étoile dans les badlands.
✚ pas le genre à dépenser et à acheter énormément de choses, il a pourtant une
attache parfois très émotionnelle à certains objets de ses collections, que ce soit un mug ou un tableau particulier, et c'est encore pire avec les cadeaux
✚ s'il paraît constamment au top de sa forme, il a pourtant un métabolisme
très aléatoire qui l'oblige à aller faire du sport régulièrement ; heureusement pour lui, c'est bien quelque chose qui ne le dérange pas
✚ du faut de ses quarante trois ans, il reste parfois un gosse, et il n'est pas rare de le voir se rendre à l'Atlantis sur un
skateboard ✚ quelque peu
agoraphobe, il a toujours un mal fou à composer avec les très grandes soirées avec énormément de monde, l'Atlantis étant un lieu d'exception à cette règle
✚ tête brûlée et révolutionnaire dans l'âme, il est un
rockerboy qui aimerait voir les corporations dans les flammes ; ce n'est pas pour rien qu'il lui arrive de rouler dans les badlands spécialement pour faire exploser des trucs là bas.
✚ quand il est anxieux, il a cette sale manie à se mettre à
parler très vite, beaucoup trop vite
✚ il adore prendre des photos, de tout, de tout le monde, même si elles ne sont pas jolies ; c'est comme ça qu'il se retrouve avec des
photos ridicules de ses soeurs sur son frigo
✚ il possède une collection de
guitares électriques fièrement disposées dans son appartement ; l'une d'elle a notamment été signée par Kerry Eurodyne
✚ depuis qu'il travaille à l'Atlantis, son appartement est bien plus
silencieux qu'il ne l'était à l'origine, profitant de ce lieu comme d'un sanctuaire pour ses oreilles et pour recharger ses humeurs
✚ souffre d'épisodes de
dépression liés aux trauma infantiles qu'il n'a jamais vraiment su soigner, contrairement à son
hyperactivité pour laquelle il prends des médicaments.
✚ malgré son côté bourru, il aime rendre service, et il aime
donner sa chance à celleux qui n'en ont pas eu énormément, comme lui
✚ il ne parle pas beaucoup de sa période de prostitution, même s'il a
gardé contact avec certain·e·s client·e·s qui ont aidé à lui construire un réseau, pour lui et sa soeur
✚ tête brûlée et bien trop sanguin, quiconque s'attaque à ses proches se retrouvera avec la tête dans le sable
✚ derrière les apparences,
il collectionne - littéralement - les memes ; un dossier complet figure dans son système avec des memes pour toutes les situations
✚ accro à l'adrénaline, accro au danger, accro à tout ce qui peut le faire vibrer, c'est comme ça qu'il s'est retrouvé à
apprendre le poker et à s'en amuser, à devenir pas mauvais dans le domaine.
✚ quand l'humeur tombe et que l'angoisse lui prends les tripes, il s'installe souvent sur le toit de son immeuble pour jouer de la guitare ; et quand il ne peut pas pour une raison ou une autre, c'est au volant de sa moto qu'il parcoure la ville en quête d'un peu de respiration
✚ roi des mauvaises idées, il est toujours le premier présent quand il y a une
connerie à faire ✚ animal des traditions et des routines, il
adore instaurer des routines avec les gens qu'il apprécie ; même si ça veut dire lancer des roquettes dans le désert
✚ vulgaire, rempli de
jurons, il adore jurer, même s'ils ne sont pas des plus originaux
✚ extrêmement soucieux de son apparence malgré toute son apparence, il n'est pas exempt
d'insécurités qui lui rongent l'âme
✚ il s'est
presque fait à l'idée qu'il finira sa vie seul, presque
✚ il a déjà fait du
wingsuit ; et si vous lui demandez, vous aurez une bonne demi-heure d'histoire sur comment il a fait chier une corporation et s'en est échappé en sautant du haut d'une tour à Tokyo.
✚ bien qu'amateur de bonne bouffe, il adore les
fast-food malgré tout, et encore plus quand il en partage avec son meilleur ami
✚ il possède tout un tas de
petits piercings aux oreilles, et ce, depuis des années ; il a commencé une fois et n'a jamais arrêté
✚ curieux de tout, curieux des gens, il n'a de cesse de trouver des sujets et des points sur lesquels il souhaite s'intéresser, sur lesquels il fait des
fixettes ; un tantinet obsessionnel avec ses points d'intérêts, fixettes éphémères et pourtant bien ancrées dans sa vie
✚ bien que profond amateur du
noir dans sa penderie, il est un éternel amoureux des couleurs flash ; orange qui pulse, jaune néon, vert radioactif ou encore rose fuchsia, il n'est pas rare de le voir en techwear avec des accents de ces couleurs-là.
✚ plus jeune, il s'est malencontreusement
fait mal au genou, blessure mal guérie qui, lors des mauvais jours, le lancent à tel point qu'il est difficile pour lui de courir normalement ; la logique voudrait qu'il se pose un implant, mais il s'y refuse, se disant que c'est rien, que c'est que les jours de pluie que ça lance vraiment
✚ bien que sa famille soit dysfonctionnelle et recelant de multiples tensions, il y a
très peu de choses qu'il ne ferait pas pour elles
✚ s'entiche secrètement des
comédies musicales et des séries thrillers dont il gobe les épisodes le matin au petit déjeuner
✚ son frigo n'est
jamais vide ; après avoir manqué de crever la faim un nombre incalculable de fois, il vit avec le trauma de manquer un jour de quelque chose.
✚ intrigué par les
comètes, il vit dans la démesure quand il s'agit d'acheter des livres ou des articles pour en savoir plus
✚ faute à vivre à moitié dans un bar, il s'est découvert un véritable amour pour l'alcool, s'accordant quelques
soirées de démesure avec son meilleur ami, jusqu'à hurler de rire aux aurores
✚ de par un passé houleux où rien n'était au beau fixe, sa santé, elle, s'est découverte de fer ; une
santé de fer qui rime avec encore plus de danger, selon lui
✚ bien que ravi et satisfait de son statut et sa position à l'Atlantis, il est
incapable d'abandonner le mercenariat et les sensations qui vont avec ; contrats à hauts risques, parfois en dehors du sol américain, il vit sa vie avec la possibilité constante qu'une mission pourrait être la dernière.
✚ bien plus
doux qu'il n'y paraît, il est loin d'être une brute, et s'il n'est pas tendre avec les gens qui l'emmerdent, sa douceur est indicible avec les gens qui arrivent à lui octroyer sourires et affections
✚ sa
rancune, à l'image de son appétence pour le danger, est
tenace ; foutu fardeau de sa mémoire qui n'oublie rien, il prends parfois énormément sur lui pour pardonner, pour oublier
✚ sarcastique et piquant, un égo parfois mal placé et le sourire mièvre, sa colère froide est celle à redouter le plus ; il ne hausse pas le ton, mais s'il s'arrête de parler c'est que le mal est déjà trop profond
✚ s'il n'est pas le plus démonstratif physiquement et avec ses sentiments, quand
il aime, il aime énormément, sans demi-mesure, sans modération, se retrouve profondément romantique et avec un débordement d'affection à revendre ; touch-starved malgré lui.