mars
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life on
But the film is a saddening bore 'Cause I wrote it ten times or more. It's about to be writ again as I ask you to focus on
1971
fall in love with simple things ▬ hellboy ▬ don't corner me, i'm a wild animal ▬ what survived might not be kind but it's me ▬ this could be the day you stop doing that self-destructive thing you do ▬ make it weird for everyone ▬ antisocial butterfly ▬ n e r d ▬ play with the cat, get scratched ▬ saltier than the dead sea ▬ intellectual disaster ▬ depression is a flaw in chemistry, not character ▬ doomed by the narrative ▬ smoll but destructive ▬ loyal like a dog ▬ hope this is the end of times ▬ soft lights in your eyes ▬ i wish i wasn't looking for myself out there ▬ is there someone for me ? ▬ you gotta walk in rooms like god sent you ▬ weeping at midnight ▬ existential crisis ▬ formless ▬ waiting for you ▬ first language : vulgarities & insults ▬ I don't give a fuck ▬ i'll prove them all wrong ▬ compulsive obsessions ▬ don't ask stupid question if you don't want an answer you can't comprehend ▬ murder on the dancefloor ▬ the end of euphoria ▬ i'll be mean ▬ afraid of kindness ▬ filling silence with loud music ▬ dripping in sarcasm like it's second nature ▬ dancing naked in the middle of the night ▬ are you waiting for me?
5 times it was supposed to be somewhere you belonged
and the only time it really was
01. you know mother never raised no bitch on parle toujours de la famille comme d'un lien d'amour indéfectible. c'est en tout cas ce que tu t'es entendu dire depuis toujours, surtout quand tu étais en foyer. on te parlait de trouver un foyer aimant, qui voudrait bien de toi, qui ferait de toi leur tout, leur univers entier. après avoir été abandonné par une génitrice qui n'avait rien fait d'autre que te pondre et t'abandonner sur le perron d'un orphelinat à Dublin, l'idée était intéressante, même si tu n'en as aucun souvenir. tu étais bien trop jeune, de toute façon. mais tu te souviens des différents visages qui ont suivis. c'était bon, tu étais dans le système. foyer sur foyer, famille d'accueil sur famille d'accueil jusqu'à ce qu'on décide que c'était bon, tu avais une famille.
Sur le papier, en tout cas. Tu ne veux pas raconter ton histoire ou en parler, en général, tu t'y refuses simplement parce que c'est peut-être pas une histoire heureuse ou une histoire d'amour, mais c'est pas une histoire crève cœur non plus. Tu es passé à autre chose, tu t'es résolu avec les années, tu as compris que c'était pas ta faute - enfin, tu crois pas, t'es pas vraiment sûr de ce point-là en réalité. Tu veux pas de la pitié des gens, c'est pour ça que tu parles pas du fait que ta famille n'était pas mauvaise mais juste négligente, et que le jour où, à même pas 7 ans, un enfant biologique tant attendu a rejoint la famille, tu étais devenu Harry Potter, à observer le monde depuis la fenêtre extérieur, figurativement parlant - ou presque. Tu avais cette impression d'être un papillon de nuit collé à une fenêtre lumineuse, constamment à observer ce qu'il se passait sans pour autant faire parti de ce qu'il se passait.
Iels n'étaient pas méchants. Iels n'étaient juste pas là. Et c'était comme ça. Iels ne négligeaient pas tes besoins vitaux, tu avais même une chambre, mais tu ne faisais pas parti des sorties, tu n'allais pas faire du shopping, les photos de famille ne t'impliquaient pas, et la liste peut continuer ainsi pendant des heures. Tes fugues, l'adolescence en prémices, n'étaient même plus remarquées à force, même si c'était juste pour sauter la barrière pour aller chez le voisin et squatter sa balançoire avec une cigarette aux lèvres. Tes résultats scolaires - flamboyants, montrant très vite les signes que tu étais plus intelligent que la moyenne, un génie qui te pesait à l'époque, l'impression de ne pas être
normal collant à la peau comme un tissu humide. Si tu n'avais pas eu cette professeure qui veillait un peu sur toi, peut-être que tu n'aurais pas eu cette bourse. Tu as rencontré ton premier amour pendant tes années scolaires, la chimie et le tableau périodique, les compositions moléculaires et les équations non linéaires. Tu étais trop brillant pour rester dans une école de seconde zone, et quand tu as fait tes valises pour ce pensionnat perdu au fin fond d'une Irlande que tu ne connaissais que par ta banlieue résidentielle de Dublin, il y avait bien plus d'affection dans le regard d'une ancienne professeure que la matriarche Melrose.
02. Then I'm a lost cause te retrouver au milieu de centaines de gens qui venaient pour la même chose aurait probablement dû te changer, te donner une sensation d'appartenance, que tu étais vraiment à ta place. mais comme on le disait souvent, les attentes étaient dangereuses, apportaient un confort auquel on voulait absolument se conformer, et quand la réalité se présentait, il n'y avait bien souvent que des ruines des espoirs conquis. c'était peut-être plus simple, dans une certaine mesure, d'être là, au milieu de ces gens qui venaient pour les mêmes raisons, les mêmes intérêts, mais ce n'était pas plus simple. la solitude se greffait à ton dos comme des ailes, et tu avais bien compris, dès les premiers mois, que ces premières années, tu serais essentiellement seul.
la première année était probablement la plus difficile pour le moral d'un gamin qui avait vu sa famille se désintéresser de soi en quelques années, tout au plus. parce qu'il y avait ce gamin dont l'histoire semblait fasciné toute l'école, le cool kid par excellence, célèbre d'une histoire dont tu n'avais jamais entendu parler, et que tu ne voulais pas savoir. toi, au milieu de gens qui venaient ici parce que leurs parents payaient les frais. pas de boursiers comme toi, pas un boursier qui avait décroché sa place uniquement par son mérite. tu sentais les regards froids sur la pauvreté que tu traînais comme un fléau dans ton sac à dos usé. la jalousie viscérale vissée à ton regard tourné vers ce gamin qui n'avait rien demandé mais avec qui la rivalité à l'intelligence était donné.
ce que tu avais pas anticipé, sur ces cinq ans, c'était la fin de ces dernières années. ton échec et ton ego blessé, la fierté en liesse et un besoin de respirer ailleurs pour quelques heures seulement pour retrouver l'absence, la soirée de la veille dans des draps que tu ne pensais pas que vous finiriez par partager. un cœur brisé que tu n'auras compris que bien plus tard, quand sa silhouette avait disparue des halls, quand tu pensais,
peut-être, que c'était pas juste un coup d'un soir. Le retour à la réalité est toujours brutal, et celui-là, tu l'as vécu avec plus de douleur que tu ne l'aurais imaginé, en y laissant ton couteau au loin sans savoir où, et qu'il te restait juste ce t-shirt avec une broderie, et des perspectives d'avenir vers lesquelles tu te tournais, en dépit du reste. C'était probablement pas ta place ici, non plus.
03. This could be the saddest dusk ever seen les années qui ont suivis sont passées comme tu ne l'as jamais vu. premier voyage en avion, le regard émerveillé devant le crépuscule qui signe ton dernier pas en Irlande, direction l'Italie. Premières années chez Biotechnica, au milieu de tant de gens qui te pensent moins qu'eux, de tant de gens qui veulent te voir échouer, et peut-être que tu as échoué finalement. peut-être pas uniquement à ce job qui te laissait frustré, vide de sens, peut-être que tu as juste échoué à la vie, tout court. tu n'arrivais pas à t'intégrer, tu n'arrivais juste pas à te sentir à ta place,
encore une fois. Ça en devenait oppressant, finalement, d'être constamment cette roue dont on ne sait quoi faire.
L'avion est pris à nouveau, au diable les conséquences, au diable les collègues désagréable, au diable l'Europe, finalement. L'arrivée sur le sol de Night City est un brutal contraste auquel tu ne t'attendais pas, et si dans les premiers temps, tu te sens rapidement overwhelmed par l'agression visuelle et sonore de Night City, il y a cette main compliante qui se pose sur ton épaule pour te diriger, pour te guider un peu plus. Les vannes ne s'arrêteront jamais sur ton accent, mais tu as un toit, un repas, deux jobs et des études qui t'intéressent. Tu sembles voir une lumière que tu n'avais pas vu depuis longtemps, ça te fait un bien que tu n'arrives pas à exprimer, probablement parce que les mots sont coincés dans ta gorge. ça a toujours été ton problème finalement.
Contre toutes attentes, quand tes diplômes sont signés et validés, tu reviens chez Biotechnica, la corporation se voulant accueillante d'un élément qu'elle a vu partir plus tôt, semble complaisante par rapport à ton choix de la quitter quelques années plus tôt. C'est pas pareil, tes collègues sont moins agressifs, peut-être, mais il y a toujours ce mouvement qui te donne l'impression que ce n'est pas encore parfait. Mais c'est mieux. Quand tu te poses, pour la première fois, au bord de la marina de City Center, tu te sens presque comme chez toi. Peut-être que c'était là que tu devais aller.
04. I'm a little drunk, I know it l'euphorie. ce n'est pas vraiment quelque chose que tu as ressenti avant d'avoir tes mains sur tes baguettes, les pieds sur les pédales, et le cœur en branle d'un concert que tu ne pensais jamais donner. il y a une anticipation, même si tu es dans un shady bar avec quatre personnes véritablement intéressées dans la foule. l'alcool pleut, les pilules aussi, tu sais pas combien de gens tu as vu dans les toilettes avec des lignes de coke. peu importe. vous avez fondé The Dead Club pour vous éclater, pour déverser un peu de cette rage, un peu de cette passion qui déborde, en continu, en constante.
Quand les premières notes frappent, quand les timbales résonnent, quand la voix se fait houleuse, et que les riffs de guitare grognent, il y a quelque chose de magique. tu te retrouves adolescent, à toucher pour la première fois à une batterie pour essayer de passer une frustration et une colère qui n'arrivait pas à se diluer autrement. c'est différent cette fois-ci. c'est ta composition, que souffle le chanteur entre deux chansons, dans un sourire qui sera muté en baiser plus tard dans la nuit. Tu es probablement un peu ivre, probablement un peu fou, tout est flou et tout est terrible.
Mais l'excitation dans ta poitrine quand ça commence, quand ça gronde, quand tu vois des gens qui chantent dans la foule, quand tu vois les sourires de tes comparses. Ça a pas de prix ça, et peut-être, peut-être que tu t'imagines enfin être à ta place. ce sera jamais pour toi, la vie des spotlights, cependant. tu aurais cru, mais l'idée même de devoir défiler sur des talkshows, des photoshoots, des podcasts, des émissions, ça te hérisse le poil, ça emmerde tout le monde. c'est pas pour toi. mais sur cette scène, cette première scène, tu t'es senti vivant, comme si tout ton corps résonnait avec les notes. tu le savais, que la musique avait une part importante dans ta vie, quand t'as commencé tes collections de maquillage en inspiration à ton obsession pour David Bowie. tu le savais, quand tu tapais sur la batterie, quand tu composais, quand tu écrivais. c'était quelque chose. c'était vivant, c'était
toi.05. do you believe in life after love? Marié. Tu n'y crois pas vraiment, quand tu regardes la bague à ton doigt. Ça fait pas beaucoup de sens à tes yeux, ça paraît si flou, si étrange, et pourtant. Vous l'avez fait, vous avez sauté le pas et grimpé les marches de la mairie de Night City. C'est pas un regard comme un autre au milieu de la foule, un corps comme un autre, non, c'est quelqu'un que tu as rencontré de manière conventionnelle, il y a un an de ça, lors d'un job que tu avais pris pour Night Corp. Tu pensais pas que ça irait au-delà d'un verre ou deux, mais ça a été bien plus. Un date, puis deux, puis trois, puis quatre, puis- déménager ensemble, faire d'autres dates. Tout ce truc là.
Tu ne devrais pas te demander, à cette heure si tardive de la nuit, comment ça se fait qu'il te supporte, toi et ton mauvais caractère. Comment il fait pour supporter tes insécurités, tes problèmes, ta colère, tes peurs, l'abandon constant que tu as peur de vivre à nouveau, l'angoisse d'encore détruire quelque chose de bien. parce que ça a l'air bien, donc ça doit l'être? tu devrais pas pouffer en pensant à ça, en te demandant, maintenant que c'est officiel, si tu as bien fait. si tu l'as fait, c'était pour une raison,
c'est pour une raison. tu es peut-être trop fatigué pour t'en rendre compte, mais ça te dérange de ne pas l'avoir tout de suite. il y a quelque chose qui te chagrine, quelque chose comme un sentiment complexe que ce n'était peut-être pas la bonne décision.
Il est pas là. Il est deux heures du matin, et il n'est pas rentré. Tu ne savais pas, à l'époque, que tu allais lui reprocher son absence, son manque de communication à ce sujet, que tu allais lui reprocher d'être si peu intéressé par autre chose que ta belle gueule. tu ne savais pas que tout allait voler en éclat à une vitesse folle. tu devrais te focaliser sur la réalité, mais quelque chose pèse dans ta gorge, quelque chose pèse dans ton estomac, et tu te retournes, trois, quatre, cinq fois dans le lit pour essayer de la trouver, seulement pour attraper le vide de l'autre côté. C'est pas ta place, ici.
06. Took in the lonely view Assis au milieu de piles de papiers, le ronron de ton chat pas loin, et les yeux levés sur les maquettes qui sont pendues au plafond, tu devrais avoir
honte. Pourtant, cela fait longtemps que tu ne t'es pas senti aussi bien, et pour une fois,
à ta place. Tu as acheté cet appartement dans le dos de ton mariage, parce que tu avais besoin de fuir le foyer conjugal - lui-même le fait déjà, et tu sais pourquoi. Le trait pas encore tracé sur l'infidélité, chien loyal à la fierté qui refuse d'être le premier à l'admettre, pour l'instant. Information jalousement gardée de messages qui ne t'étaient pas destiné, couteau que tu pourras dresser à son encontre un jour où tout explosera.
Qu'importe les raisons, qu'importe tout. Vous êtes des inconnus l'un pour l'autre, ou pas loin de l'être, et si vous ne discutez que pour des trivialités, c'est le minimum. Quelque part, ton cœur se serre à la mort de ce que tu pensais être une bonne chose, quelque chose que tu as peut-être détruit par toi-même, parce que c'est bien ton genre. Mais pour un instant fou, quand il n'y a que le silence pour te répondre, tu te sens bien, tu te sens en sécurité, tu te sens chez toi. Dans un double job que tu aimes et que tu chéris avec force. Tu ne pourras pas y venir tout le temps, parce que tu ne veux pas qu'il sache, mais c'est chez toi, c'est à toi.
On pourra pas te l'enlever, ça. Tout ce que tu as accompli, pour prouver à tous ces cons que tu méritais ta place. On pourra pas t'enlever cette fierté là, cet ego là. Même si on venait à te virer, tu seras toujours capable de dire que tu es monté haut, si haut. Tu pourras peut-être pas touché les étoiles d'où tu viens, mais tu as construit ton propre plafond étoilé, avec tes propres espoirs, tes propres vaisseaux. On pourra pas t'enlever ça. Peut-être que tu vas faire le deuil d'une relation qui était peut-être vouée à l'échec, et peut-être que tu te perdras dans les bras d'inconnu en espérant trouver ta place dans ceux-là. Peut-être, mais en attendant, tu as ta place, ici. Juste là.
2041 naissance sur Tycho, par une mère qui l'abandonne à Dublin, en Irland.
2048 passe quelques années dans le système, passe de foyers en foyers avant d'être adopté par la famille Melrose.
2050 naissance d'un enfant biologique dans la famille Melrose, il passe au second plan, repéré par un professeur pour son intelligence plus élevée que la moyenne.
2057 départ dans un pensionnat spécialisé au fond de l'Irlande, pour cinq ans.
2062 départ du pensionnat, avec un double diplôme en poche.
2062 repéré et embauché par Biotechnica à la suite de ses études, il y passe deux ans en Italie avant d'être envoyé à Night City
2064 arrive à Night City, quitte Biotechnica pour reprendre ses études et se spécialiser à nouveau, est embauché par Night Corp. en amont de ses études, et rencontre les Valentinos.
2066 complète son deuxième double diplôme avec deux ans d'avance, continue de travailler pour Night Corp.
2068 embauché à nouveau chez Biotechnica, découverte de ses origines highrider.
2070 début des multiples transferts de services en services, commence à travailler sur des petits contrats ponctuels avec Night Corp.
2074 transféré dans un nouveau service de Biotechnica, cette fois-ci au programme de clonage biologique des animaux et en cosmétologie, fondation de The Dead Club.
2075 devient chef de projets cosmétiques chez Biotechnica.
2076 mariage avec Aaron, un employé de Night Corp, commence des contrats ponctuels pour All Food.
2078 adoption de Bagheera, son chat, dans le dos de son mari, peu après l'achat de son appartement.
2079 mariage qui bat de l'aile, au bord du précipice, mais terriblement accompli professionnellement.
fashionista dans l'âme, tu possèdes énormément de vêtements de créateur·rice·s, mais aussi des pièces chinées, l'une de tes passions étant d'aller fréquenter les friperies ▬ tu possèdes une collection de vinyles particulièrement imposante ; notamment de vinyles datant d'avant les années 2000, et parmi eux, la discographie complète de David Bowie ▬ tendances obsessives et hyperfixations font parti de ton quotidien, il suffit d'un petit rien pour que tu deviennes soudainement addict à une nouvelle série, un nouveau film, un nouveau univers, et ça te passe en un mois, au maximum ▬ tu es doré de l'oreille absolue, et si tu as jeté ton dévolu sur la batterie et la composition de lyrics, tu te sais capable d'utiliser n'importe quel instrument à ta guise, raison pour laquelle tu écris et compose souvent à la guitare plus qu'à la batterie ▬ ceci étant, tu as également un excellent sens du rythme, faisant de toi un très bon danseur, passion que tu ne partages pas avec grand monde, adorant le plaisir de pouvoir danser seul dans ton appartement ▬ tu as quelques troubles de l'attention mais aussi quelques troubles sensitifs ; il y a des textures, des sons, des formes que tu es physiquement incapable de toucher ou d'entendre.
tu possèdes cinq diplômes particulièrement spécifiques ; un diplôme de chimie, un de biochimie moléculaire, en chimie cosméceutique, et un en biotechnologie moléculaire animale - et le bonus d'un micro diplôme appris sur le tas : gastronomie moléculaire ▬ tu n'as jamais caché ton envie d'en rajouter encore à ton palmarès, simplement parce que tu es avide d'apprendre et que les bancs d'étude ne t'effraient pas du tout, au contraire ▬ particulièrement intéressé par les mythologies mésopotamiennes, pour une raison un peu obscure d'un bouquin sur lequel tu es tombé il y a longtemps ▬ pendant longtemps, tu avais peur de l'eau, pas au point de ne pas prendre de douche ou de bain, mais être près d'une piscine te rendait particulièrement peu à l'aise ▬ tu n'as jamais été un grand sportif, mais tu t'es découvert un aspect athlétique quand tu t'es mis aux arts martiaux, bon bagarreur que tu es ▬ ton accent irlandais est toujours aussi prononcé malgré des années sur le sol américain.
avec les années, tu as appris plusieurs langues dont l'italien et l'espagnol que tu parles couramment ▬ tu n'es pas spécialement un bon cuisinier, tu es capable de faire des plats hautement spécifiques grâce à tes études, et tu as une recette de burgers et de macaronis au fromage à tomber, mais tu n'es pas non plus the chef ▬ tu as les oreilles percées, en plus de tes implants esthétiques ▬ tu grignotes constamment, tu as toujours quelque chose sur toi à manger, et tu prends très au sérieux le principe des trois repas par jour ▬ si tu es socialement étrange, les cues sociales te manquant bien plus souvent que tu ne le voudrais, tu restes quand même capable de fit en société, jusqu'à une certaine limite.
tu as une passion pour les maquettes d'avion, de spaceship, que ce soit réel ou de fiction, tu retrouves avec tout un plafond d'une pièce de ton appartement où des maquettes sont pendues en guise de décoration ▬ dans ton appartement, à toi, tu as également fait installé un établi complet de chimie, pour les jours où tu préfères travailler de chez toi ▬ addiction légère au nicola saveur fraise, tu sais que c'est pas bon pour ta santé, mais tu en as toujours un pack chez toi, comme pour les chewing-gum ▬ amateur d'objets anti-stress, boules de mousse, pop it et autres gadgets du genre ▬ tu prends beaucoup de photos, elles ne sont pas toujours jolies, mais c'est un réflexe que tu as que de prendre chaque chose que tu trouves belle, en photo ▬ du genre frileux même quand il ne fait que quinze degrés dehors ▬ amateur de parfum, grâce à l'établi que tu as chez toi, tu es non seulement capable de reproduire les parfums de créateur, mais aussi d'en créer par toi-même des originaux, que tu ne vends pas, et que tu gardes seulement pour ta collection personnelle.
la batterie a été ton premier instrument, commencé lorsque tu avais 16 ans, d'abord pour canaliser les énergies négatives que tu ressentais ▬ tu pratiques, régulièrement la batterie et le keyboard synthétique même si ce n'est pas ton instrument de choix ▬ pas particulièrement croyant, même complètement athée à ce sujet là ▬ tu adores prendre l'avion, et tu prends, tous les ans, une destination où aller en vacances, t'obligeant à prendre des vacances ▬ tu as un point faible pour la junkfood et ce qui se cuisine rapidement, de préférence ▬ tu possèdes une routine de skincare qui est impeccable ▬ le genre à te couper les cheveux tout seul à trois heures du matin entre deux insomnies, même si tu es le genre à bien dormir en général.
ton appartement possède un studio entièrement équipé pour enregistrer et produire de la musique ▬ si tu n'es pas bon à parler de tes sentiments, tu es pourtant très bon à les coucher sur papier sous formes de paroles ▬ tu possèdes une petite collection de cactus abandonnés dans des labos voisins de Biotechnica, que tu as subtilement volé ▬ tu te trimballes toujours avec une crème pour les mains et un paquet de chips ▬ le type à avoir une centaine de carnets et autant de stylos et de surligneurs, amateur de l'ancien moyen qu'on avait d'écrire, et pas sur des datapads ▬ ton appartement résonne toujours avec de la musique, même à bas volume ▬ quand tu voyages, tu prends toujours plusieurs hôtels pour ton séjour, juste pour avoir différentes vues et expériences ▬ possède des baguettes de batterie personnalisées et gravées de différents motifs ▬ très désintéressé de la politique, que ce soit celle de son pays natal ou celle de son pays d'adoption, il s'en fiche très fort ▬ il s'est rendu compte de ses origines highriders à son arrivée à Night City, curieux de savoir d'où il venait vraiment.