Fucking ray of sunshine  
Doux, tendre, chaleureux. Cœur d’artichaut, sentimental et romantique. Trésors de patience et de douceur, si nécessaire, de tendresse infinie, presque violent dans ta douceur. Tu aimes rire, vivre. | Sourire de satyre | T’as vu le sordide, t’as fait le pire : reste l’envie d’aider, de réconforter. | T’exhibes une assurance de tavernier, une étincelle perverse toujours au coin des yeux, sincèrement incapable de retenir des jeux de mots en-dessous de la ceinture.  | drama-queen & diva |  de l’amour à revendre

Homme de principe | ton propre code moral | intransigeant | bourreau de travail | t’as appris à faire des compromis - à tracer une ligne imaginaire entre ce qui est tolérable, ce qui est supportable, et c1 qui serait une trahison. | prêt à tout pour accomplir ta mission. | Ne supporte pas ta propre impuissance | cherche des solutions | plie mais ne casse pas | ne pardonne rien | sang-froid presque glaçant, passe du rire grivois à la violence froide. | maîtrise ses émotions | | réfléchit vite en cas d’urgence | ne cherche pas à être sympathique. | entier

Lucide  | ni blasé, ni cynique. | Tenace, résilient. |   Heureux, envers et contre tout. Tu refuses de les laisser gagner. Tu refuses de laisser les corporations t’avoir, arracher ce qui est au cœur de ta poitrine, tu veux être heureux pour leur faire la nique . Pour leur prouver qu’ils ont tort. T’as appris à être heureux sans que ça soit innées : entre deux humiliations, deux deuils, deux bastonnades, tu t’es battu pour afficher ton optimisme à tout épreuve, les deux pieds dans la merde et même pas de café convenable en échange. Tu ne laisseras personne ôter ce que tu as tellement de mal à acquérir par toi-même.

Sans pudeur;  ni physique, ni émotionnelle. | Ton langage est coloré, grivois, brutal. Vulgaire, de langage, de comportement, presque d’apparence. Apparence : brut de décoffrage, franc. Réalité : joue avec les limites. Excellent menteur, tu es plus subtil que ce que tu laisses voir.  Tactile, humour grivois.  Tu prends de la place, bruyant, tapageur, flamboyant et grande gueule, embarrassant.  Embarrassé par rien. Assuré et plein d’assurance. Tu aimes séduire, on croit que t’es un playboy. Réalité : Besoin d’être aimé, refuse de changer pour l’être. Peur du rejet et de l’abandon. T’as un ego situé à -150, tu hais ton reflet, tu hais ton corps, tu hais le sang sur tes mains, tu sais les dégueulasseries que t’as fait, tu as des problèmes de confiance en toi. T’as besoin d’être aimé, tu ne sais pas comment le demander. Tu sais parler de ce que t’as sur le cœur, tu parles de tes émotions, trop. Et pourtant, y a un dernier degré, un niveau auquel tu refuses qu’on accède, de peur d’être dépossédé de toi-même. Tu as l’habitude de ça.

where's the line between sacrifice and self-slaughter?

Incapable de baisser tout à fait les armes, de faire confiance, de dépendre de quelqu’un. Affamé d’affection, seul ton mariage arrive à te faire croire en la sécurité affective. Toute ta vie durant, seul Jebediah fut le seul qui ne t’a jamais trahi, jamais déçu. Le seul à prendre soin de toi, le seul à te penser être digne d’être sauvé. Tu recherches désespérément amour et validation, tout en étant incapable de t’en croire digne. Même Zhenka, qui t’as épousé il y a bientôt dix ans, tu as toujours ce remue-ménage dans l’estomac, la peur qu’il te jette dehors, te regarde un matin avec le dégoût que tu mérites. Tu apprends à sortir de ta tanière, à croire les mots, et les actions, mais parfois tu as l’impression d’être protégé d’une coquille fragile, prête à éclater, et te revoilà, à huit ans avec ton tigre en peluche et ton crucifix, ta poitrine gonflée de larmes.
T’as plutôt l’habitude de protéger, l’habitude de donner, de t’attacher, d’être la personne dont tu aurais eu besoin. T’es un père sans enfant, un enfant sans parent et t’en crève. | Balance entre la conviction de ne pas pouvoir se reposer sur quiconque, d’être seul et indigne, et le besoin désespéré (désespérant) d’être aimé, chéri, protégé.

no one knows the amount of violence needed to be so gentle

Sans pitié. Dévotion : amour tourné en violence. La loyauté pour une chose signifie être prêt à trahir tout le reste. Pragmatique, habitué à accomplir des missions à haut risque, tu sais adapter tes ressources et ton fonctionnement pour atteindre ton but. Si quelqu’un doit avoir du sang sur les mains, autant que cela soit toi.  Incapacité à choisir un seul combat, une seule colline sur laquelle crever, tu prends tout, tu essaies de sauver tout le monde. Ta colère embrase tout, fuel au creux de tes reins, aussi glauque et poisseux que leur pétrole, mais elle brûle plus lentement. Ta rancœur est maîtrisée, sous contrôle. Tu détestes les corporations au fond, les ultra-riches, tu détestes la façon dont il pille les gens comme les ressources.

leans back in my chair and clasps my hand : I am just a bastard.

odeur de poudre, de chien mouillé, d’alcool et de cigarettes | chemises à motifs innombrables et innommables, jupes longues et chaps de cowboys aux genoux usés | des médaillons de saints au cou, un bracelet de perles d’enfant au poignet | couvert de tatouages | une peluche de tigre élimée | little spoon | drama queen | try me bitch | l'amour des chiens errants | un club après la fermeture et de la vokda dans des mugs | papa-bear



Qui viendrait élever un enfant dans cette ville ?

Quel parent digne de ce nom viendrait élever un gamin dans cette ville ?
La question résonne dans ta cage thoracique alors que tu fais semblant de dormir, sur ton lit d’orphelin. La colère d’enfant, la rage autant que la peur s’enroulent autour de ta poitrine, prennent racine. Si tes parents avaient été des gens bien, ils ne seraient pas venus avec un enfant dans la ville au plus haut taux de criminalité du continent. Si tes parents avaient été des gens bien, ils ne seraient pas morts. Si tes parents avaient été des bons parents, si tes parents t’avaient aimé, ils ne t’auraient pas abandonné. Une colère qui n’a pas de de voie de sortie, qui reste dans ta poitrine, comme les grosses larmes que tu condamnes. A moitié dirigée vers tes parents, à moitié dirigée vers toi, tu as du faire quelque chose de mal pour te retrouver là.

Ils n’étaient pas grand-chose, tes parents. Aucune idée de pourquoi ils avaient bien eu l’idée de s’installer ici alors que vous n’en étiez pas originaires. Classe moyenne, gagnant honnêtement leur vie, profil bas. Si tu avais posé des questions plus tôt, peut-être que tu aurais trouvé des voisins qui se souvenaient d’eux, qui auraient pu te parler d’eux. Tu n’as eu le luxe de le faire que sur le tard, et ils ont déjà été oubliés. Victimes collatérales d’une guerre des gangs, ni les premières ni les dernières. T’avais 8 ans, l’ouïe qui saute en même temps qu’un autre truc, à l’intérieur de toi : là où devrait accrocher une ancre. La sensation de sécurité affective, de sécurité tout court, de familiarité, d’avoir un endroit à toi, ta foi en un Dieu qui veillerait sur vous, tout explose. T’étais aimé, et maintenant t’es tout seul. Il te reste quoi ? Des médaillons de Saints et une peluche de tigre, des principes moraux et des cicatrices de brûlures immenses sur un corps d’enfant.

God watched idly by as I was killed in that house.

- Only a man tried to help me.

T’as Jedebiah. C’est un tic que tu garderas plus grand ; quiconque te montre une once d’amitié, une once d’amour, de respect, tu t’accroches à lui comme une moule à son rocher, prêt à tout, à mourir et à tuer, tout ça pour en grapiller une miette de plus. Souvent tu finis par t’écorcher le cœur contre les rochers. Pas avec Jed. Jed c’est ton frère, ton rocher, un colosse aux pieds d’argile qui te semblait immense quand t’étais piot et plus tant que ça aujourd’hui, mais c’est aussi la première, la seule personne à t’avoir protégé. Ton frère pour toujours, croix de bois, croix de fer, si je mens j’vais en enfer.
Tu fais exprès C’est ce qu’ils te disent. Exprès de chercher les punitions, exprès de ne pas vouloir de parents. On essaie de te faire adopter, de te trouver une gentille famille, t’es petit, t’es mignon et à l’époque t’es même poli, pas trop mal élevé. On finis toujours par te rendre. A l’orphelinat comme dans les familles d’accueil, tu es incapable de fermer les yeux– si un grand menace un petit, si tu entends quelque chose au milieu de la nuit, tu interviens, toujours, même s’ils sont plus grands que toi. Cela te donne la réputation d’un bagarreur, d’un fouteur de merde, et tu serres les poings. Tu peux pas rester à ta place, t’as jamais su. Ca, plus ta réputation de clown et de grande gueule, tes fugues parce que tu sens bien qu’on veut plus de toi, ça cumule. T’apprends à jamais poser tes valises, l’intranquilité te ronge. Et puis, il y a l’accident. Les règles de l’orphelinat sont claires : vous êtes employés à certaines basses manœuvres, des cambriolages et des bagarres, vous êtes utiles. Mais c’est chacun pour sa gueule, chacun pour soi. T’as jamais supporté. Et un jour c’est toi qu’on laisse dans la merde, le reste du groupe se tire, se dissout dans l’asphalte comme une floppée de moineaux.
Tu serais mort ce jour-là, si ce n’est Jedebiah.
Cela te laisse quoi ? Jed, et tout ce que tu peux mettre dans un sac. Le sac n’est même pas plein.

I ask for a swordman and god said look at your hands

L’un des héritages malheureux que t’ont légué tes parents et ton aversion pour les gangs. Tuer ne te dérange pas, tu le découvriras assez vite, mais tu as besoin d’une raison, d’une cause. Tu penses que les gangs ne font ça que pour l’argent. Tu rejoins Militech, t’étais censé faire quoi d’autres ? Tu sais te battre et pas grand-chose d’autre. Ils découvrent ton potentiel en même temps que toi, tu es loin d’être bête. Inéduqué, oui, mais ton cerveau fonctionne remarquablement bien. Tu trouves une cause, une famille, des frères d’armes.
Après quelques années de soldat, tu évolues vers des missions qui te laissent plus d’initiatives dans le feu de l’action, des choses plus subtiles. Entre autres, d’être garde du corps pour quelques corporate.  Sois beau et tais-toi, c’est ce que tes camarades raillent lorsque on te file des missions de garde du corps, de chef de sécurité pour des soirées mondaines. Tu prends ça à cœur, tu fais ça bien. Un jour on t’affecte à Zhenka. A l’époque, il n’est pas question de le draguer, de le séduire. son petit-ami vient de mourir à cause de lui. . Tu dois regarder avec les yeux, ne pas toucher, ne pas ouvrir ta grande gueule et la braguette qui va avec.  Evidemment que tu le dragues. Tout pour voir ces pommettes rougir et son visage, son putain de visage à la con, s’illuminer d’un sourire. Tu lui décrocherais la lune. Lorsque tu finis par avoir son stalker, lorsque tu tues pour lui, cela peut devenir sérieux. Ta première vraie relation : ça sera 4 ans. Vous recherchez pas la même chose, au même moment, c'est un ultra-riche, t'es un gamin des taudis, lorsque tu arrêtes d’être son garde du corps, votre relation se disloque en moins d’un an.

Only thing worse than me is my pick up lines  

Tu n’es plus vraiment loué à présent. Tu reste dans les bras de Militech, enfant prodigue qui croit que sa corporation le lui rendra bien. Plutôt black ops que soldat, tu fais tes armes. Entre deux missions, tu profites de la vie nocturne de Night City, tu tournes entre les amants, à la recherche de quelqu’un pour t’aimer long terme, et tu ne tombes que sur des histoires qui te prennent pour un con. Tu persistes pourtant, tu aimes – les hommes, le sexe et faire la fête, danser et les paillettes des boîtes de nuit. Tu ne perds pas ton appétit de vivre, farouche. Tu ris et tu saignes.
Et puis il y a Jedediah, que tu vois mourir entre tes doigts. Il survit, bien sûr mais il y a ce moment, où tu crois perdre la seule personne qui t’a jamais laissé tomber, et sa vie dépend que de toi. Leurs vies souvent dépendent que de toi : tu accepte de prendre certaines drogues, tu les laisser sculpter ton corps en arme, parce qu’il faut bien quelqu’un qui le fasse, quelqu’un qui protège les autres, autant que ça soit toi. Le principe, c’est que tu laisses personne en arrière, jamais.

I know you know that love's a game, why you playing fair?

T’as-toujours voulu d’un mariage à l’église, deux ou trois mômes, une maison. Très vite, très tôt – de quoi faire peur quand vous aviez la vingtaine, que son petit ami venait d’être assassiné et que tu étais son garde du corps. De quoi rêver maintenant. Tu es presque sûr que la demande en mariage de Zhenka est lié aux tensions politiques entre les NUSA et Night City, aux bruits de couloirs qui secouent ta corporation. Mais tu prends, tu prends tout, tu aimes son pragmatique autant que son cul de toute façon.  Vous n’emménagez pas ensemble, vous n’avez pas le temps : mariage civil, rapide, avec vos témoins c’est tout, et toi qui l’entraîne vers une église d’Heywood. Tu rêves bête, tu rêves que vous adoptiez un gosse, et que vous soyiez heureux, que tu vives à l’extérieur que tu ressens dedans.

Is there sex after death ?

Puis, la guerre d’unification.  Tu es cabossé. En morceau. Androïde désarticulé, chacune de tes respirations, chacun de tes rires siffle à la façon d’un morceau de métal pris dans un coup de vent. Ce n’est pas la première fois que tu pars pour des missions longues, ce n’est pas les premières blessures qui amochent ton corps. Cette fois – pour la première fois, quelque chose est cassé à l’intérieur. La façon dont ils avaient traité Jedebiah la dernière fois. Le fait que tu aies dû combattre contre Night City. Le fait que ton meilleur ami soit mort et que tu n’aies pas suffit.  Ce n’est pas la première fois que tu tues, pas la première fois que tu vois la guerre pour de vrai, mais cette fois les traumatismes ont gagné. Tu te regardes plus dans le miroir, et tu as des crises – des crises de manques, des crises de larmes, des crises où tu es incapable de savoir qui tu es.  A un moment, tu te retrouves à couteaux tirés avec des gangs, à te battre dans des combats illégaux, tu sais pas pourquoi, mais c’est ce que tu es, n’est-ce pas ?
Ton petit ami ton mari est là, à chaque pas. A la vie à la mort, dans la joie et le malheureux, la santé et la maladie. Il t’offre un chien, Bullet, chien d’assistance qui te sauve autant que l’homme à tes côtés. Il t’offre des soins, mieux que tu pourrais jamais t’offrir avec ta solde, remplacer tes implants, réparer les cassures. C’est long, ça se rouvre, mais pour la première fois peut-être, tu n’es pas seul, entre ton frère et ton époux.

Comment est-ce qu'un gars comme toi finit par organiser des cambriolages ?

Tu rejoins le NPCD. Tentative désespérée pour que tes actions correspondent à tes principes, pour pouvoir faire quelque chose – tu crois pas à changer le monde, tu crois pas pouvoir sauver tout le monde, mais tu te dis, au moins un, au moins une personne, tout ça aurait du sens, tout ça vaudrait le coup. Même si tu n’arrives pas à empêcher Miguel de finir en prison. Même si tu n’arrives pas à mettre ceux qui le méritent en prison. Même si t’as le sang d’Asu sur les doigts, alors que en flingues et uniforme, tu t’étais arrêté en pleine patrouille pour essayer d’arrêter la mort du gamin, alors que le reste de la patrouille tenait d’intervenir en Tyger et Valentinos, toi t’essayé de sauver la vie d’un gosse et Akiro pleurait et t'as chopé un avertissement. Même si Branwen un jour te surprend en plein cambriolage, et tout ce que tu trouves à dire c’est hausser les épaules, faire comme de si de rien n’était. Ils étaient assurés ces gens là et y a d’autres qui crève pour de vrai.

Le mépris de classe. L'indifférence. L'impuissance. La rage. Le dégoût de soi et la haine des puissants. Le sentiment d'injustice et le plafond de verre. La corruption et les corporations qui vous oublie aussi sec.  
Qu'est-ce que tu peux faire d'autre qu'utiliser ce qu'ils ont fait de toi pour vous sauver vous ? Pour une fois, ça change d'inverser le rapport.

T’avais commencé à échanger des idées avec Robin des Bois Des discussions de pilier de bar ou presque, refaire le monde ; faire quelque chose, ne serait-ce qu’à votre mesure. Un peu de la même façon que les Valentinos dans Heywood, mais ça tu mets du temps à te l’avouer – se serrer les coudes. Aider les plus démunis, tu retrousses les manches. Effaroucher les jeunes délinquants, aider à porter les courses, aider les fins de mois, aider à faire des travaux et juste être là, quelques manœuvres de contrebande pour toujours : se serrer les coudes. Tu as essayé les corporations, tu as essayé la police, et nulle part, tout le monde se torche avec la justice. Alors maintenant tu essaies à ta façon, la justice justifie les moyens. T’es prêt à tout pour ça.

Le silence dans la navi est à couper au couteau. Lorsque le reste des Outlaws t’ont présenté leur nouveau, leur enfant prodige au réseau étendu et à la credchip sans fond, tu t’es contenté d’un long sifflement. T’as rien dit, t’as pas cafté que t’étais marié depuis des années à cet homme-là. Que tu lui avais jamais rien dit. Ta double vie se percute avec la force d’un semi-remorque. Bonne nouvelle : Zhenka et toi avaient les mêmes envies, les mêmes opinions. Mauvaise nouvelle : tu lui as menti.

Cowboy hat from Gucci

Le bar sent bon la peinture et il n’y a pas encore de bière qui colle aux semelles. Tu surveilles Akiro du coin de l’œil vérifie qu’il n’en fout pas partout et qu’il ne démarre pas une connerie avec les Valentinos venus donner un coup de main. Le bar a l’air étrange la lumière allumée, encore à moitié en chantier. Tu alignes les bouteilles derrière le bar alors que sur la devanture défile tes recherches d’emploi. Vous installez et déballez encore le reste de la décoration, sortie des vieux westerns, une bonne dose de kitsch et de paillettes en plus. Un deuxième étage en mezzanine, et à l’arrière encore un studio pour toi, et un bureau, pour Wooding investigation.
C’est à toi. Tu es libre de décorer ça comme tu veux, de choisir de qui t’entourer, qui accepter, qui bouler à la porte, tes règles. Ton saloon. Un rêve de gosse enfin réalisé, qui n’attends plus que les lumières tamisées pour réconcilier les deux parties de ta psyché.