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Rhil Trasam | Feral scientist
5 participants
Rhil Trasam


Rhil Trasam | Feral scientist  Murwb2k
carte :
the magician
files :
609
€$ :
1465
pronoms inrp :
il
métier(s) :
ingénieur en aérospatial spécialiste en stations orbitales | fournisseur du Pegaso
allégeance(s) :
Orbital Air | Travaille pour les TC | Passif Aldecaldos | Membre de l'Etabli
icône :
Rhil Trasam | Feral scientist  Ufo-cow
Rhil Trasam | Feral scientist  TMYtNfv
pseudo :
Goblin
pronoms irl :
elle
crédits :
Naly (av+gif), awonaa (sign), ostara (av fiche de liens)

   https://never-fade-away.forumactif.com/t222-rhil-trasam-feral-sc
Rhil Trasam
▬ as above so below


homepage
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Charlie Hunnam


username :
Rhil Trasam

Evoqué, non décrit:  Violence, manipulation, espace



identité(s) ― Trasam, Rhil.
nom(s) de code ― you little shit | pretty boy | brat | Michi |  A l'exception du dernier, que Eds utilise parfois pour parler de lui sans éveiller des soupçons, les surnoms ressemblent plus à des étincelles, débris d'étoiles et de soudure qui flottent autour de son visage, auréole brûlante à l'odeur électrique, se dissout sur sa peau comme du sucre.
génération ― 42 ans , né le 11 juin 2036 - la quarantaine qui commence, qui démange - c'est une coïncidence si les signes de l'âge ne le rattrapent qu'à la profondeur de sa fossette au coin du sourire, les rides au coin des yeux. Les yeux lumineux rajeunissent son visage, l'empêchent d'être rattrapé par les conséquences.
genre(s) et pronom(s) ― Masculin, cis genre , il n'a aucune relation avec le prénom il auquel il répond - pas d'avis sur la question, comme autant de surnoms qui l'effleure sans le toucher.
genèse et origine(s) ― Né sur Lune , résident et citoyen de Tycho jusqu'à l'adolescence. Ses parents venaient de feu le Royaume-Uni, ont grandis aux NUSA, se sont rencontrés en  Nouvelle Afrique, se sont expatriés sur le plus vieux satellite de la Terre. A 13 ans, embarque en orbite pour la première fois, highrider : son père, scientifique, avait obtenu une promotion, transformant son fils en enfant de l'espace , identité qui lui colle à la peau.
préférences ― bisexual disaster ; il n'a jamais fait de différences entre les   genres, masculin, féminin, les deux ou ni l'un ni l'autre. Tantôt affamé par  l'esprit  d'un individu, tantôt hypnotisé par son aura , la façon dont l'autre habite l'espace, quand il ne succombe pas à l'attrait d'un  corps  sans réfléchir. Ce qui le pousse vers autrui, à la façon d'une étoile filante ou à l'approche d'un trou noir, diffère de personne en personne, mais il ne s'arrête pas ni au genre, ni à leur apparence.
statut du myocarde ― célibataire il cumule les aventures à court terme, il a du charme et en joue. Il déteste dormir seul, séduit pour trouver le sommeil et se réveiller en pleine nuit pour travailler. Ses quelques relations à moyen-terme se sont finies en désastres par sa faute - l'habitude de ghoster dès que l'autre s'attache à lui, dès que les émotions s'entremêlent, l'habitude de pousser les autres au loin, de se rendre haïssable.  Par chance aucun registre ne porte la mention de fiançailles, par chance il n'a pas eu le temps de signer, d'aligner son nom à celui d'un.e autre. Pas l'embarrassante paperasse des gros mots mariage et divorce, juste une incartade, restée hors planète.




carrière(s) ― Ingénieur spatial . Petit, il voulait devenir astronaute, astronome, cosmographe, découvrir Jupiter, rejoindre l'expédition Donna. Il a finit par opter par l'ingénierie, spécialisé dans les stations orbitales - les concevoir, les rendre capables d'être envoyées dans l'espace, les envoyer et les y maintenir. Son travail alterne en le city center et les innombrables stations corporatistes et .. feu le Crystal Palace. Pas vraiment la proximité avec les étoiles pour lesquelles il a tant trimé. Fournisseur de pièces pour le Pegaso sans que ça s'ébruite, depuis plusieurs années, l'une de ses rares bonnes idées.
allégeance(s) ― Orbital Air corps et âme : depuis que son père lui a montré le film des premiers pas sur la lune, il appartient à Orbital Air, respire et vit pour la corporation. Son travail est sa raison de vivre, l'accomplissement de tous ses rêves. Il n'a jamais envisagé travaillé pour quiconque d'autre, et a passé plus que son temps fermé à tout le reste du monde, à bosser pour mériter sa place, à remplir le rêve corpo sans s'en rendre compte. Il n'appartient à aucun gang même s'il leur rend parfois service de plus en plus souvent même, de plus en plus cul et chemise. L'équivalent d'un coup d'un soir pas vraiment de son gré avec les Wraiths suivi d'une idylle qui s'est très mal finie du côté Aldecaldos avant son arrivée à NC, il fait de son mieux pour re-croiser aucun des groupes. Si il peut être utile à d'autres gangs en sous-mains, ou au plus offrant en général ses derniers temps, ce sont les Tyger Claws qui maintiennent ses comptes à flot. Quant aux Moxes il se contente d'être fasciné à la façon d'une météorite attrapée par l'orbite d'une planète avant impact.
données bancaires ― Paradoxales Son compte en banque est mensuellement approvisionné, avec plusieurs chiffres sur la paye - ingénieur au sein d'une corpo majeure, son boulot est autant exigeant que bien payé. Rythme de vie modeste, à part les implants dans lesquels il a investi depuis arrivée à NC, il devrait vivre comme un roi . Compte en banque à la gueule d'un iceberg positif sur le haut négatif par le bas il traîne quelques casseroles depuis ses premiers emprunts étudiants jamais résorbées, tendance purulentes.
localisation ― City center Si il a passé les premiers temps de son arrivée à Night City à squatter Watson il s'est depuis trouvé un appart dans le quartier corporatif, proche de son lieu de travail. Il rechigne à l'avouer, mais la sécurité du coin payée à prix d'or le rassure, oiseau addict à sa cage dorée. L'appart est petit, ne convient bien que pour l'homme seul, habitué aux espaces restreints de la vie hors-sol. Il est divisé en deux parties : le lit, poussé sous la fenêtre pour observer l'extérieur, et l'établi, où Rhil passe la plupart du temps. C'est un endroit pour dormir et bricoler ou amener une passade, mais pas vraiment pour vivre.




implants ―

Implants optiques permettent à Rhil d’améliorer sa vision et en particulier de zoomer et dé-zoomer sur un détail, pour un effet de loupe, ainsi que mesurer les distances au millimètres près. Fonctionnement avant tout sur l’infiniment petit. Particulièrement utile lorsqu’il travaille.
Il porte un implant métallique sur la tempe, qui peut se déplier pour former des lunettes devant son visage et lui permettre de travailler avec plus de précision si nécessaire, faisant apparaître les détails grâce à son implant et les informations de son tech-scanner devant ses yeux à la place de la réalité.
Tech-scanner Grâce à sa liaison personnelle Rhil se branche aux systèmes de la majorité des appareils afin de « trouver la panne » et obtenir les informations disponibles sur l’état du système. Une fois le diagnostic effectué, il peut ensuite réparer l’appareil lui-même ; le scanner peut lui livrer des informations incomplètes ou ne pas trouver la panne, et il complète par sa propre compétence humaine de toute façon.
Gants à gauche A la façon des charcudocs, Rhil porte une mitaine à la main gauche, modifiée pour servir d’outils et qu’il oublie bien souvent d’ôter : il y porte une pince de précision, une clef ajustable, un tournevis, un fer à souder et un briquet.
Résistance à la chaleur à droite Après s’être brûlé l’épiderme sur le pouce et l’index de la main droite, la peau abîmée a été remplacée par de la simil-skin résistante à la chaleur.
Pulsation à gauche Possibilité d’envoyer un bref coup de jus par contact avec sa paume gauche. L’usage est unique et bref, il nécessite ensuite que Rhil répare l’implant incrusté dans sa paume, mais cela lui permet de donner une secousse à une machine, un boost, ou de pouvoir se défaire d’une situation tendue en forçant quelqu’un à le lâcher ou en lui donnant quelques secondes d’avance…
Tatouages Si les plus anciens et nombreux de ses tatouages sont fait uniquement d'encre classique, les plus récents sont holographiques et bougent légèrement en fonction de ses mouvements et de la lumière.
Chronologiquement parlant, son premier implant est son implant contraceptif, liberté incrustée dans sa chair depuis l'adolescence.


aptitudes ―

Intelligence Son intelligence lui sert de carte d'identité, de badge d'honneur, longtemps la caractéristique par laquelle il se définissait : petit génie., enfant précoce qui prend des mauvaises habitudes à force de retomber sur ses pattes. Il réfléchit vite, improvise, comprend avec facilité et s'adapte partout. Ses longues études accomplies avec les honneurs et félicitations du jury prouvent bien que son premier ressort est celui de son cerveau Doté d'une mémoire extraordinaire, bon dans ce qu'il fait et le passionne, bourreau de travail il excelle au passage dans tout ce qui passe par l'ingénierie, la mécanique et les maths en général.
Bagou  Capable de se tirer de la plupart des situations par sa gueule et son vocabulaire, il a une tendance assumée au bluff et au charme. Il sait convaincre et persuader, rebondir, appuyer là où il faut, au point de se voir doté d'une chance inouïeen la matière.
Vivacité  L’esprit et le corps sont vifs. Ses réflexes ne sont pas (encore) modifiés mais sont un peu au-dessus de la moyenne. Il a l’habitude de courir vite, et sait se battre : rapide, il sait esquiver les coups et parer relativement bien.  

lacunes ―

Netrunning Singulièrement mauvais à ce jeu, il connaît les bases du hacking mais ne mérite absoluement pas le nom de netrunner. Cela le dépasse. On pourrait penser qu'avec son intelligence et sa vivacité d'esprit, il s'en sortirait bien. L'esprit cavalcade, déjà à des années lumières de l'idée de base, il saute les étape, crame les circuits, se déconcentre, se perd dans ses propres pensées dévorantes.
Concentration Il n’est capable de se concentrer que si cela l’intérêt – à tort. S’il continue alors à gigoter l oublie tout le reste, de dormir, manger, se laver. Pour se calmer, il a pris l’habitude du travail manuel ; il bricole constamment, réfléchit par le mouvement – ce qui explique son insuffisance dès qu’on opère dans le cyberespace.
Constitution Né sur un satellite naturel, grandit sur un satellite artificiel, sa constitution physique n’est pas optimale. Il sait depuis longtemps qu’il se casse facilement quelque chose, mais sportif et habitué à l’exercice il ne se rendait pas compte de l’étendue problème avant d’arriver sur Terre.  Son système immunitaire n’aime ni la pollution, ni ce qui peut traîner dans l’air à Night City – et il en traîne des vertes et des pas mûres.
Curiosité & lâcheté  Extrêmement curieux, il a tendance à regarder là où on devrait détourner le regard, incapable aussi de retenir des commentaires trop futés quand il devrait se taire. Conséquence néfaste, le scientifique tombe souvent sur des ennuis plus gros lui.
Armes Il ne sait pas utiliser d’armes.
Tête dans les étoiles Il travaille tout le temps, ne se préoccupe que des étoiles et des gens qui y vivent. Scientifique fou, il n’est pas du tout au fait de la réalité. Enfermé dans son bureau, il connaît mal le jeu du capitalisme. A Night City, son manque d’intérêt pour la politique des gangs et des corpo, les problèmes de classes et les idéaux des gens pose problème – il commence à regarder autour de lui avant de traverser, l’estomac secoué.








coruscant | étincelant | bavard | petit con | impertinent | culot | curiosité insatiable| nonchalant | tête bien remplie | débrouillard | charmeur | lâche | sociable | doux | bricoleur | fort esprit de contradiction | passionné | extraverti | hyperactif | beau parleur | défiant | problème avec l’autorité  | obsessionnel | solaire | érudit| altruiste par nature, égoïste par nécessité | alacrite | ouvert d’esprit | espiègle | buté | perfectionniste, terrifié par l’échec | bienveillant  | déconnecté des enjeux réels

It takes guts to be kind | spécialiste de l’infodumping | s’émerveille facilement | les bras et le dos couverts de tatouages, dont certains holographiques | believes in aliens |  ne supporte pas de dormir seul mais travaille nuit et jour | Intelligence is the ability to adapt to change | fasciné par la technologie et ce qu’elle peut faire | burning bridges like its his job | fasciné par le feu, responsable de certains incendies dans sa jeunesse | toujours quelque chose au bec, clope ou sucette rebel without a cause | sweet-tooth | i give a lot of fucks, I am prostitute of feelings.| Président du fanclub de l'exploration Donna dans son enfance. | shitposter |   aime autant la moto, les paris, les combats que l'astronomie, les maths, et l'astrophysique. ou encore la prestidigitation et les danses sensorielles.

Toujours un pourquoi ? et un comment ? au bord des lèvres, une question en appelle une autre. Une porte fermée lui est insupportable, il veut tout savoir, surtout ce qu’il devrait ignorer. Il ne sait pas respecter les interdits qu’il ne comprend pas.  Il aime étudier, il aime réfléchir, travailler. Il éprouve une joie réelle à la recherche et à l’étude . Il vit pour son travail, réalisation d'un rêve de gosse.
Toujours un sourire en coin, l’air de savoir mieux que quiconque, singe la confiance et l’amusement jusqu’à l’arrogance. Ses insécurités, il les cache à merveille sous son insolence et son bagou, son attitude nonchalance et ses commentaires trop futés.
A fleur de peau, il prends toujours tout à cœur. Balance entre l’indifférence et l’obsession, a du mal à encaisser les rejets, à se remettre de ses propres émotions. Il veut tout ressentir de la manière la plus forte possible, tout explorer, vorace d’émotions autant que d’adrénaline.
Il n’hausse jamais la voix : elle porte toujours la même nuance joueuse, taquine, qui savoure un fruit défendu et ronronne comme un feu de cheminée au fond de sa gorge. Narquois, joueur, il déborde d’idées à la con certifiées bonnes idées par son intellect. Il est l’exemple type qu’un haut QI ne vous rend pas plus intelligent que la moyenne et qu’on peut toujours être un désastre.
Il déteste s'ennuyer plus que tout au monde : cela seul le rend agressif et mordant. Le prendre dans ces moments où il n’arrive à rien, où son esprit tourne à vide le rendent fou, c’est prendre le risque de paroles blessantes qui ne lui ressemblent pas.
La peur prend parfois le dessus de l’obstination. On ne peut pas lui faire confiance – combien l’a-t-il entendu ces mots durs jetés à son visage ? Combien de fois a-t-il répondu en partant, encore ? Défaut impardonnable. Il tente de prouver le contraire. Il découvre progressivement l’effet des endorphines lorsqu’on peut compter sur lui, y devient addict, un peu trop tard, devient loyalet fidèle envers un cercle réduit.
Il peut se montrer bienveillant, gentil, doux, pour peu qu’on lui offre un peu de patience. Ses bonnes intentions s’effritent sous son impulsivité. Trop innocent pour NC sans doute, il essaie de comprendre les autres, prolongement de sa curiosité.

2036 - Lune.

Vue de l’espace, la Terre est incompréhensiblement vaste. Incompréhensiblement variée. Rhil grandit avec une vue du dessus, les nuages et les couches de pollution dessinant des mirages où il voit son avenir à la façon des prophéties dans les fonds de café. Depuis la colonie lunaire où il grandit, il est aux premières loges pour voir la planète la plus proche effectuer sa lente révolution dans l’espace, indifférente au regard braqué sur elle. La Terre ressemble à une orange d’après l’un des vieux e-book de poésie de son père (lorsque Rhil allumait la tablette de son père, les polices d’écritures dessinaient des galaxies sur les murs de sa petite chambre, veilleuse qui lui parlait d’ailleurs. Autre part à un autre moment.). Elle ressemble à quelque chose à dévorer, où planter ses dents, jusqu’à plus soif, jusqu’à plus pouvoir. [jusqu’à en être dégouté, jusqu’à en vomir et se gaver de BD]. Sur la lune ou en orbite, l’espace est une monnaie d’échange, la liberté court-circuité par les limites de l’intelligence humaine. Vous pouvez toujours fuguer, mais vous n’irez vraiment pas loin. Alors il en rêve, de l’espace, de l’exploration. Son père est un scientifique, microbiologiste, sa mère est secouriste. Rhil est un satellite de la Terre. Il l’a toujours dans son rétroviseur, plus proche que Mars ou Jupiter. Il grandit chanceux : une famille qui s'aime, qui l'aime, qui a de quoi vivre confortablement sur la Lune.

2050 - En orbite

Ils vont dans l'espace.  En équilibre précaire sur un amoncèlement de chaises, boîtes, livres usés et vêtements, Rhil décroche les étoiles de sa chambre. Ils vont dans l'espace.  Sur la pointe des pieds, le blondinet parcoure du bout des doigts la constellation d’Orion gluée au-dessus de son lit, glisse ses ongles en-dessous du plastique phosphorescent. [le son affreux de la peinture qui part avec, griffure d’un couteau contre une prothèse métallique] L’imprimante 3D fait encore son bazar dans un coin et un écran diffuse pour la centième fois le décollage de l’expédition Donna, filmé il y a quelques semaines. Il ne croisera pas ses héros, ils ne vont pas sur le même chemin et l’espace est vaste, sans embouteillages. Les posters de l’équipe sont soigneusement enroulés sur le bureau à côté des autres – l’expédition Pathfinder, et une vieille reproduction du premier pas sur la Lune. Il connaît ces gens-là mieux qu’il ne connaît la plupart de ses camarades de classe. Plus de souvenirs de livres que de noms d’amis, plus d’éraflures sur les genoux que d’invitations à des anniversaires. Bien entouré, mais un cercle petit, à la façon d’une ceinture d’astéroïdes.

Alternance de l’enfant prodige et de l’enfant terrible : premier de sa classe, doté de certaines facilités, comprends vite, s’intéresse à tout. [à tout] // chuchote en classe, gigote en classe, lit autre chose une fois qu’il a fini son exercice. Responsable de quelques départs de feu accidentels au fond de sa cabine, responsable de nombreuses glissades dans les coursives. Intelligent [malin], plus que sage. Curieux, plus que réservé, partage son temps entre les bêtises et les livres, occupé à dévisser les panneaux des parois pour comprendre comment Tycho fonctionne, mettre sa liaison personnelle dans les proverbiales prises.
Ils vont dans l'espace. A ce moment-là,  il part sans se retourner, sans savoir s’il remettra les pieds sur la Lune. Est-ce qu’il dit au revoir à Jaafar ? Oui, sans doute, quand même, même si les souvenirs des derniers jours sur la Lune sont grisés, brouillés. Serveur saturé par l’excitation du voyage. Il part sans se retourner, sans savoir s’il remettra un jour les pieds sur la lune. [ Il n’a pas conscience alors, de ce que c’est, de se torde le coup pour repérer les cratères familiers comme d’autres comptent les moutons et les voitures rouges. Il n’a pas conscience que le creux qu’il a dans la poitrine ne se remplira pas une fois dans une coquille de métal larguée dans l’atmosphère.]. Aucune miette d’angoisse : il sait qu’il part, c’est tout ce qui l’intéresse.


2051 - Night City

« Thus, in a sense, we are all doomed. even if we stay away from black holes »   [Ainsi, dans un sens, nous sommes tous condamnés, même si nous restons éloignés des trous noirs] Bien sûr qu’il avait le devoir de s’échapper. D’échapper à l’attention. Le gamin des étoiles est fluet, léger sur ses pieds, habitué à s’esquiver du regard des adultes dans un endroit où il est impossible de s’esquiver. Il se tire. Lorsqu’on finit par le dépouiller, il n’a aucune idée d’où il se trouve : avoir bouffé toutes les informations disponibles sur la ville à la façon d’un astronaute désespéré pour une bouffée d’air n’a pas suffi à l’orienter. Il a mémorisé le plan sans savoir que NC ne répond pas aux mêmes logiques urbanistiques qu’une station ou qu’une colonie lunaire. Il n’avait pas grand-chose sur lui, à l’exception de sa liseuse. C’est une longue journée, une longue nuit et la faim et la fatigue achèvent ce que ses contusions et égratignures ont commencé. Il est sur le point de se faire tabasser par un gamin à peine plus grand que lui, à peine plus costaud que lui [les étoiles remplacées dans les yeux par une étincelle façon brasier, façon phare], il a du sang sur le menton et la tête qui lui tourne, et au milieu, ses deux yeux céruléens, phosphorescents qui brillent à la façon d’une étoile naine [brûlante]. A quel moment est-ce qu’il se met à reconnaître Watson, Kabuki, à quel moment est-ce qu’il se met à déblatérer sur les quais, sur la mer, qu’il a pas eu le temps d’y aller au centre-ville, qu’il a jamais vu l’Océan qu’à 384 400 km de distance ? A quel moment Ithan décide de le prendre sous le bras, de l’aider à regagner le centre à un moment donné ? « I will never, never be the same. I have seen stars. Real stars. »   [Je ne serais jamais, plus jamais le même. J'ai vu des étoiles. De vraies étoiles.]  Il garde une cicatrice sur le ventre, et une sur le menton, de son épopée dans la ville. Il garde aussi sur les lèvres le goût d’un premier baiser, premier baiser volé [demandé] sur une planète, effervescent comme un bonbon, comme NC.

2055 - En orbite

Son pas garde la légèreté d’un garçon qui aurait grandi pieds nus sur la Lune. Enfant unique, oui. Seul, non.L’appartement dans lequel ils emménagent et petits, mais comme sur la Lune, ses parents s’entourent d’un étroit réseau de liens, toujours ouvert aux quatre vents pour accueillir des cousins, des amis, des voisins. Les livres sont le seul moyen de garde Rhil immobile, quand bien même il a tendance à le lire juché près du plafond ou sur des gaines d’évacuation. Il lit, il dévore, apprend des langues, mortes ou vivantes, pour ne plus les toucher ensuite. Sa mère lui apprend à se battre et à utiliser un kit de premier secours, vaguement consciente que la vie de son fils dépends d’un fil et d’une aiguille. Son père lui apprend à apprendre.

Dans l’adolescence, les vocations s’entassent pêle-mêle : astronome, astronaute, cosmographe, astrophysicien.Il se décide pour l’ingénierie, qui a le mérite d’être moins intellectuel, plus manuel et d’occuper son esprit en surchauffe. Aérospatial, recherche et développement et veille technologique. Il s’occupera en particulier de la conception et le maintien en orbite des stations, toujours des étoiles plein la tête, l’envie de déposer ses créations toujours un peu plus loin de la planète d’origine de l’humanité, toujours volontaire pour mettre les mains dans le cambouis plutôt que sur des plans. Les études sont longues et compliquées, mais il aime les défis, il aime la complexité. Il y a eu quelques coups, quelques anarques montées pour récupérer un peu d'argent, avoir son appartement, ne pas utiliser l'argent familial. Des dettes, aussi : famille confortable, sans être aisée.

2061 - Mars

Il a laissé les clefs, est parti comme on quitte une planète en feu. Nouveau départ. #powercouple et les étoiles qui devaient s’aligner. Remplir les cases de la to do list. Ils étaient des scientifiques. Ils étaient censés poser les nouvelles bases de l’exploration stellaire.
C’est comme tomber amoureux, mais pour de vrai.
Cela faisait juste sens, la tête lui tourne de la certitude d’être à la bonne place, de faire ce qu’il faut, d’appartenir quelque part. Lorsqu’il croise le regard de saon partenaire, une fossette satisfaite creuse sa joue, à gauche. Cela fait juste sens, n’est-ce pas ?
Il s’est fiancé : l’autre appartient à Orbital Air, second.e de leur classe là où Rhil est premier, avec une famille plus corporatiste que la sienne, capable d’ajouter au génie de Rhil la certitude d’être accepté du premier coup dans les programmes où ils candidatent, qui sait mieux jouer le jeu que lui. Rhil a momentanément d’essayer son charme comme on joue avec l’interrupteur d’un briquet pour se caser avec l’un.e de ses ami.e. les plus proches. Cela fonctionne, non ? Ils ont les mêmes ambitions, les mêmes envies, cela fonctionne au lit, ils partent sur Mars et se sentent pousser des ailes. 78 millions de kilomètre de la Terre, ils sont les rois du monde.
Il n’a aucune idée de à quoi ça ressemble, d’être amoureux. Cela doit ressembler à ce qu’il ressent lorsqu’ils mettent les pieds sur Mars, lorsque leurs esprits font des étincelles à l’idée de changer l’humanité, à explorer l’espace. Cela ressemble à leurs regards complices quand l’organisation militaire du site les fait sourire en coin. Cela ne doit pas ressembler à l’impression de suffoquer, l’impression que chacun de ses vêtements est trop serré, trop rigide sur sa peau, à ses ongles qui grattent sa barbe jusqu’à laisser du sang sur les draps, aux sautes d’humeur et à son caractère soudain irascible et l’impression d’être seul. Il ne dort pas la nuit. Il fixe le plafond et sa noirceur, il fixe le plafond et l’impression qu’il est posé sur sa poitrine. Comment est-ce que quelqu’un peut dormir à côté de vous, une entière nouvelle planète s’étendre de part et d’autre des quatre murs qui forment la station de recherche, et pourtant avoir l’impression d’être le seul humain au monde ?
Qu’est-ce qu’il a fait ? Qu’est-ce qu’il fait là ?


2062 - Nouvelle Afrique

Son sac ne pèse pas bien lourd sur son épaule, alors que la planète rouge s’amenuise dans son dos. Devant lui, le soleil berce l’hémisphère nord et les mains collées au hublot, Rhil regarde la planète bleue se rapprocher, sent la gravité l’attirer entre ses bras. Ses jambes sont faibles et lourdes sous lui alors que le jeune homme rapproche ses genoux contre sa poitrine. C’est la fin d’un marathon, d’avoir obtenu le passage dans la navette qui retournait sur Terre sans attirer l’attention de saon partenaire, de ses collègues. Il préfère poser les questions qu’y répondre. Il va remettre les pieds sur Terre pour la première fois depuis 11 ans. Les vieilles questions remontent à la surface, rassurante par leur vivacité. Il y a encore quelque chose qui vit à l’intérieur de lui, quelque chose qui se pose des questions, frissonne à la surface. Cela fait si longtemps qu’il a l’impression d’être emprisonné dans la routine et l’apathie. La tête renversée contre le dossier, il observe la forme de la Nouvelle Afrique sous ses pieds, ses milliers de kilomètres, ses milliers de possibilité. C’est la première fois qu’il ne connaît personne où il va. C’est la première fois qu’il n’a que son CV dans sa puce neuronale et pas un sous en poche.

2065  - [start: NUSA // end: Badlands.]

La tête dans le travail – les années passent. Il a un travail captivant, a pris ses aises à Orbital Air. S’il a toujours quelques soucis avec la discipline et ses N+1, il se fait sans cesse aimer de ses collègues, son génie l’excuse de ses incartades. Il n’a que son travail pour lui ces années-là. Freinage d’urgence, à un certain point : voir autre chose que la surface de son bureau et les entrailles de la moto sur laquelle il bosse pendant son temps libre, bâtie pour l’espace plutôt que tout-terrain. Il a un terrain de jeu de 510,1 millions de km, des envies rêves de 150 00 années-lumière de diamètre et il reste planté-là. Dans des bureaux, des tours qui ressemblent à tous les bureaux de la galaxie.
Il pose un congé, sans promettre quand il reviendra, quelques économies en poche pour financer un road-trip qui finit par l’emmener aux NUSA. Des petits boulots, des services rendus aux plus offrants, des arrêts sur image et des jobs plus ou moins dignes : se maintenir à flot pour continuer à voyage. Il dort toujours mal à fixer le ciel et le clignotement des satellites, ses doigts tournant une à une ses bagues. Ce qui s’agite dans son estomac cherche toujours une position confortable pour s’allonger sur le dos. Mais s’il conduit assez vite, s’il reste en mouvement, s’il découvre, voit, observe, découvre comme d’autres mangent et boivent et baisent, alors la pression s’allège, un peu. Quelques années de rêve. Sans attache, sans conséquences, seul [il apprend sur le tas qu’il n’est pas un animal solitaire].

Il est assis sur l’enseigne du Sunrise Motel, un cul de clope lui brûlant les doigts et il regarde le soleil saigner sur le désert avec la tendresse qu’on a pour un vieil ami qui s’endort sur le siège passager. Il n’a jamais été aussi proche du soleil, et c’est peut-être pour ça qu’un reste de chaleur réchauffe son visage tendu vers la nuit. Ses muscles sont endoloris par la journée et son visage accuse la chaleur du soleil autant que la fatigue. Ses pieds se balancent gentiment dans le vide, les semelles au bout de leur vie. Il expire un rond de fumée parfait qui vient envelopper la lune dans son auréole.
Un an.

Il entend vaguement les Aldecaldos qui se coltinent sa présence faire du bruit en contrebas. Le léger échos des voix et des musiques lui rappellent la maison, lui ramène une nostalgie ancienne dans les os, comme si les étoiles l’attiraient à nouveau dans leur orbite.
Les choses se passent étrangement bien.
Cela faisait un an, un peu plus même que les Wraiths avaient attaqué le convoi avec lequel il traversait les Badlands. Il ne connaissait même pas leur existence à l’époque, l’avait appris par la violence. Il l’avait appris par la peur, la peur viscérale, primale qui l’avait submergé, paralysé. Ils avaient pris sa moto, pris ses affaires, et il avait continué à parler, au travers du sang qui lui coulait de la bouche, parler et parler pour sauver sa vie, ses quelques possessions, son visage. Ils l’avaient traîné dans leur sillage un temps, et il s’était rendu utile.
« - Je peux mieux faire. » Aldecaldos et Wraiths se sont mis sur la gueule, lui au milieu, lui sur le côté, plutôt. Pari sur ses compétences, défi sur son utilité. Il restera longtemps avec ceux-là, mettant son savoir-faire pour récupérer les composants sans les abîmer, exploiter les marchandises au mieux, réparer ce qui tombe en panne. Pas vraiment membre du gang, pas vraiment leur prisonnier, une exception achetée par sa belle gueule, l’adresse de sa main et son bagou. Il a toujours eu un penchant pour les mauvais garçons, au sens non genré du terme. Pour la première fois il gravite réellement dans leur cohorte, les regarde à la façon d’un gardien de phare fixe les bateaux. Il brûle. Brûle de cette vie un peu hasardeuse, un peu dangereuse. C'est addictif. C'est une curieuse présence dans sa poitrine, comme un écho de celle qui bat par à-coups lorsqu'il regarde le ciel. Il y a du désir aussi, un désir presque adolescent à la façon dont il le consume : d’appartenance, et d’amour aussi, pour l’un.e d’entre eux. Peut-être pourrait-il les rejoindre un jour, oublier ce qu’il était, avant. Peut-être pourrait-il être en couple, sans effort. Et ça le terrifie bien plus que le vide sous ses pieds. Cela le terrifie plus que la violence des gangs, que le sang qu’il les voit nettoyer dans l’évier, que la propre odeur de sa sueur et de sa peur les premiers temps, plus que l’impact de balle dans l’peau qu’il caresse au milieu de la nuit.
Cela se passe bien. Ce qui est un problème. Il s’est adapté, il s’adapte – l’espèce humaine n’est rien si ne ce n’est adaptable et versatile, lui encore plus.
Le mégot virevolte et va crever la tête dans le sable.
Il s’achemine dans une chambre d’hôtel au lit défait. Des affaires dans un sac, certaines à lui, d’autres non, un revolver qu’il fourre sous un t-shirt, des trucs à revendre, les circuits sur lesquels il travaille en ce moment. Ses clefs de moto – elle est passée à un.e Aldecaldos après les Wraiths, mais il pense toujours à elle comme son enfant, le fruit de son labeur. Cela fait un an qu’il n’a pas calé ses mains sur son guidon, mais la vélo, moto, liberté, ça se réapprend pareil, en une nuit seul sur les routes.

2067 - Night City

Night City trimballe avec elle une odeur d’incendie et de produits chimiques. Elle prend les poumons, s’attaque à sa gorge, et transfère à ses vêtements une odeur rance et entêtantes. Il a posé ses bagages à Watson sur le canapé d’un ami, explore la city avec une sorte de candeur, la candeur qu’on a pour un animal qui pourrait vous tuer. Il revient en pleines émeutes entre les Tyger Claws et ceux qui deviendront les Moxes. Il se rapproche des feux, la bouche bée (en cœur) et les yeux piqués par la fumée, manque de se faire fracasser le génie sur le macadam par son premier amour. L’amour sent la poudre et la cendre, faut croire, il ressemble à la peur de vivre et à la peur de mourir. Les étincelles ressemblent aux étoiles.  

Il retrouve un poste d’ingénieur à Orbital Air. Chaque matin, il a l’impression que le ciel sort des eaux. Il fait profil bas, évite les gangs, surtout ceux qui pourraient reconnaître sa bouille ou sa bécane. City Center est une forteresse dont il apprend les moindres recoins. Une cage dorée. Il se rend indispensable, travaille trop, nuit et jour. Se donne à sa corporation à la façon d’un poster boy alors que c’est juste une coïncidence, qu’elle répond à son aspiration pour les étoiles. Ce n’est pas une corporation, c’est un sacerdoce et un hobby à la fois. Pendant un temps, les tournées en stations suffisent à sa dose de sérotonine et d’adrénaline – chaque fois qu’il revoit la Terre d’en haut, une bulle se forme dans sa cage thoracique, chaque fois qu’il voit un satellite d’en bas, une bulle éclate avec la satisfaction du papier bulle. Il aime les deux, insatisfait, se satisfait de l’alternance : il fait ses tournées d’inspection, vérifie que tout fonctionne, diagnostique et modifie ce qui pédale dans la semoule. Il n’y a pas le droit à l’erreur sur les stations, il faut trouver, improviser : il aime ça. Il dépense trop en implants, en tatouages surtout – il se fait tabasser et dépouiller lors de virées nocturnes, cumulent à les dettes, comme si les Badlands avaient incrusté dans son être une poussière gênante, impossible à gratter, impossible à oublier : des paris stupides, des combats à mains nues, sa moto qu’il perd au combat, et sa liberté surveillée par les Tyger Claws aussi. Il accueille le retour de l’expédition Donna avec l’impression d’être un ado en crush devant ses héros, pose ses questions intarissables sur le cosmos et pose ses mains avides sur leur matériel pour inspecter l’état après 28 années dans l’espace.

Le Crystal Dome s’écroule dans la baie et Rhil arrête de respirer, sa désinvolture affectée vole en éclat, la nausée le prend et il sent ses jambes céder sous lui. Il y aura des questions, des formulaires à remplir, une carrière en suspens en 0G, comment est-ce que cela pu arriver ? Il y a sa propre curiosité, son désir d’aller voir sur place, et des questions, partout. Mais sur le moment, reste le deuil, la peine à vif, la familiarité a sauté à la façon d’un verrou : il connaît cet endroit, par cœur et il n’existe plus. Comment est-ce que cela a pu arriver ?




Do I dare disturb the universe ?


Queen - Don't stop me now



pseudo ― Goblin
pronoms ― elle/she/her
âge ― 30 ans
fuseau horaire ― +1, France
trigger warnings ― à voir par mp
crédits ― Awonaa [peluche]  greenheart  greenheart .
comment as-tu trouvé le forum ? ― Suivi du projet par tumblr, Ari est sans doute à blâmer au moins en partie.
l'avenir de ton personnage ? ― si tu venais à te séparer de ton personnage, des détails pour aider tes liens et le staff à savoir ce qu'il serait advenu de ellui.

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Invité
Invité

Il est làààà. fire fire Je sais même plus comment décrire mon amour pour ce personnage, parce que vraiment, ça va être la troisième fois ? mais je me lasse jamais de lui, il est juste incroyable. cry (quel honneur d'avoir pu réalisé son aes.  waiting ) Ce caractère flamboyant et insouciant, ce petit sourire charmeur et filou qui sent les ennuis à plein nez, cette curiosité insatiable, jolem et j'ai trop hâte de construire des robots intelligents avec lui. hearteyes hearteyes
Zola Shepard


Rhil Trasam | Feral scientist  H1leM2W
carte :
the magician
files :
3974
€$ :
11087
pronoms inrp :
[he - him - il] homme cisgenre.
métier(s) :
mercenaire de profession, à l'appât du gain des plus gros contrats sur le marché, tu as délesté un peu ce manteau pour être fixer, loyal propriétaire du club l'Atlantis.
allégeance(s) :
allégeance sous les insignes de la Snake Nation et des Aldecaldos ; il t'arrive de prendre le thé avec les Tyger Claws quand les couteaux ne sont pas tirés.
icône :
Rhil Trasam | Feral scientist  Ti1i7yk
Rhil Trasam | Feral scientist  TMYtNfv
pseudo :
tiababylo.
pronoms irl :
elle/she/her
crédits :
tiababylo. ∷ disaste(r)eyes) (gifs)

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Zola Shepard
▬ Follow me into the depths of hell
maybe we're already in it and too close to tell
online

zfeojzeiojfemoi mais pardon mais cet AESTHETIC???
ce bleu est si beau o m g c'est vraiment
super quali
et ça a fit si bien ce personnage incroyable qui se découvre dans ta fiche moizjfmoejf

mention spéciale à

Rhil a écrit:you little shit | pretty boy | brat | Michi

et puis un highrider à nouveau mzeoizfo ça fait TROP plaisir de voir des personnages qui exploitent l'espace, vraiment mow j'exige qu'on se trouve un petit lien parce que ce personnage est tellement cooool yaaay
(j'ai d'ailleurs un gros coup de coeur pour ce que tu as écris pour le statut du myocarde cry )

BREF, en attendant d'en lire plus sur cette pépite, je te souhaite la bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fichette ! panic et n'hésite pas si tu as besoin ! purpleheart




Maybe together we can make our mark in the stars we embark And keep us together as the lights go dark


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Invité
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Je fais preuve d'une grande originalité MAIS cet aes, c'est juste parfait, le bleu est trop beau et correspond tellement bien à la plume qui se dessine dans les étoiles infinies~blueheart Bref, en version simple et courte : j'aime, et j'attends beaucoup de la suite taptap

Puis Charlie Hunnam, quoi smug
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Invité
Invité

il est làààààààà mon himbo pretty boy avec qui on va foutre le feu !!!

je l'aime déjà, il a l'air si attachant et chaotique mdrrrrr
hâte de foutre le feu ensemble en rp hearts
Ezra Krajahr


Rhil Trasam | Feral scientist  KdfAcOW
carte :
the tower
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pronoms inrp :
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métier(s) :
[netrunner principal] de l'Atlantis, mais aussi [techie & pilote] doublé d'un expert en aéronautique qui fait valoir son expertise dès que possible, grâce à son passif d'[astrophysicien et d'astronaute] pour Orbital Air.
allégeance(s) :
[Voodoo Boys] netrunner approuvé par le gang. loyal à son nouveau foyer, [l'Atlantis]. ex-employé d'[Orbital Air], congédié contre son gré, les haït en silence.
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Rhil Trasam | Feral scientist  TMYtNfv
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Ezra Krajahr
▬ doing it like a pro
like a real control freak show
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Non mais- C'est quoi tous ces gens qui manient Photoshop comme un prolongement de leur bras ??? ce bleu je suis TROP fan boudeheart

INGÉNIEUR SPATIAL OMG ayons un lien et parlons astronomie autour d'une clope en nous surnommant little shit 1 et little shit 2 Rhil Trasam | Feral scientist  1963853151

J'adore ce qui se dessine, vive l'espace Rhil Trasam | Feral scientist  3440491807

Bienvenue parmi nous et n'hésite pas si besoin ! taptap


Akiro Hiroka


Rhil Trasam | Feral scientist  240065fe2db5db125121024a576caa6de68f8371
carte :
the chariot
files :
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€$ :
4105
pronoms inrp :
✧ il/he ✧
métier(s) :
mercenaire ✧ tclaw no limit. freefighter raté. voleur surdoué. ninja des toits dégueulants et fouteur de merde quand y lui reste un peu de temps.
allégeance(s) :
lui-même ✧ ensuite, le fric, puis sa bécane, les t-claws et japantown. l'atlantis et le saloon pour bercails ✧ allégeance vendue au plus offrant selon les lois d'un marché insolent.
icône :
Rhil Trasam | Feral scientist  2805d1ced89193dff34ce339f0ee6570f7e208f1
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✧ naly
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✧ elle/she
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✧ awonaa

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Akiro Hiroka
▬ where there's a will, there's a way

Perdre sa moto au combat.
hello it's me Rhil Trasam | Feral scientist  1495122029

ton bb chat de la Lune qui a la tête dans les étoiles quietlove
je suis charmée par ta plume raffinée qui fait voyager, par l'électrique de ta fiche et par le fc que t'as choisi taptap
Ithan Keikwan


Rhil Trasam | Feral scientist  6cae73b64dcee829c45c5332c530227669c60b0f
carte :
the lovers
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€$ :
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pronoms inrp :
Masculins et neutres
métier(s) :
Braindance Tech | Sex Worker
allégeance(s) :
The Mox. Depuis le premier jour, iels sont dans tes veines, quand le premier feu a été allumé dans Kabuki en 2067, tu savais que la rue était ta famille. Maintenant, celle-ci portait son nom.
icône :
Rhil Trasam | Feral scientist  Af5b25ec25259e94318f5914622e9f38527751d1
Rhil Trasam | Feral scientist  TMYtNfv
pseudo :
Akira
pronoms irl :
Elle/She/Her
crédits :
xka0tika (ava) | finnickodaair(gif) | Tennant (icon) | Awona (sign)

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Ithan Keikwan
▬ you don't take a chance,
you always make a choice

Rhil Trasam | Feral scientist  3440491807 Rhil Trasam | Feral scientist  3440491807 My lovely feral scientist Rhil Trasam | Feral scientist  3440491807 Rhil Trasam | Feral scientist  3440491807
Je peux jamais exprimer à quel point je l'aime, ça fait si longtemps, je l'ai toujours dit mais : le feu en lui, son goût de l'aventure (dangereuse mais c'est ça qu'on veut), papillon attiré par la lumière du danger et qui plonge le regard dans le judas alors qu'il ne devrait pas luvingit wait for me, let's burn the bridge together fire
Chaque petit détail, chaque petite phrase qui en apprend tellement sur lui, ta plume dont je me lasse jamais, ton FC hearteyes


delicate
Do you understand the violence it took to become this gentle ?





   
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