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even the auto-translator can't understand us - kasmeer
2 participants
Reyes Rez
   https://never-fade-away.forumactif.com/t973-reyes-rez-fnfn-1fn-2

Reyes Rez

twink's protector

aesthetic :
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 REYES-IMG
carte :
the lovers
files :
538
€$ :
8519
pronoms inrp :
iel (il - elle accepté)
métier(s) :
jardinnier.ère, plant merc, dealer
allégeance(s) :
Night Corp [employé.e]; Valentino [historiquement]; Voodoo [poison master, de coeur], Biotechnica [anciennement]
icône :
poison
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 68lidrv
pseudo :
gan-sha
pronoms irl :
elle/she
crédits :
tiababylo (avatar + image), VHS STILLS (icone)

un-understood
tw
drogue, coups, sang, langage explicite, gore


But you come when I ask for you. Is it because you want to ?” Reyes n’a jamais été plus heureux.se de ne plus avoir de vaisseaux sanguins dans le visage, parce que ses pommettes et l'entièreté de sa peau l’auraient trahi en s’embrasant de ce sentiment embarrassant. Iel se serait arraché le derme de ses ongles rongés, griffé jusqu’à ce que son corps ne puisse plus le trahir ainsi.
Mais la trahison est toujours là, dissimulée. Ses entrailles se tordent et il a l’impression que ses intestins se transforment en un serpent qui se réchauffe au soleil. La sensation est brûlante au sommet de ses oreilles aussi. Iel échappe un simple  “hm”, maussade est gauche.
On ne lui a jamais appris à parler de ses sentiments.
Toujours à les dissimuler.
Et ça s’est nécrosé sous sa langue, craie et pateuse terrible quand il est question des mots dont iel serait bien incapable d’éppeler chaque lettre, s’iel n’avait pas l’aide implémentée dans sa puce.
Rien dans l’informatique ne peut l’apprendre à aimer.
Il y a toutes les putains virtuelles qui lui apprendront à baiser.
Mais Reyes est bien incapable de se laisser aller à ses sentiments.
Faiblesse.
Cible droit dans le coeur.
Et qu’est-ce qu’il aimerait, justement, que Kasmeer enfonce ses doigts directement dans sa poitrine, et fingerbang son coeur jusqu’à ce qu’iel en crève.
Une mort douce.
Qui n’arrivera pas. Reyes a la lâcheté de noyer le poisson dans l’eau, l’embrasse, comme si ses lèvres sèches et rapeuses étaient un point final à la conversation. “I care.” C’est une insulte. Parce que Kash ne rajoute pas about you, ni ne lae rassure. Elle s’inquiète de son putain de tapis, de ces invitiés incapable et Reyes, à nouveau, ne répond pas, n’a pas envie de répondre, reste dans ce mutisme doucereux, acide. Le serpent remonte de ses entrailles, niche dans son estomac un instant. Quand finira-t-il par sortir de la bouche de RR pour cracher son venin? “I see.” Sa main abimée se plaque pourtant doucement contre le crâne de Kasmeer, à l’inverse de son ton dur et difficile.
Les mots sont compliqués et lourds, peut-être la seule chose qui lui permet de toucher le fond de la baignoire.
Est-ce que les remarques blessantes de Kasmeer seront suffisantes pour qu’iel s’en aille au bord de la mer, pour ne jamais en ressortir? Reyes a toujours envié les gens qui se suicidaient pas la noyade. Il y a quelque chose de terriblement poétique, à refuser même l’air du monde et accepter une crasse encore pire dans les poumons. “You’re better than I.” Ce n’est pas compliqué, Reyes est la personnification des problèmes sociétaux de Night City. Kasmeer a au moins le luxe de pouvoir toucher les étoiles.
Reyes est payé.e pour les abattre.
Parfois.
Iel était pas prêt.e à en aimer une.
S’est jamais prétendu.e être un putain d’astronaute.
Mal de l’air.
Mal de l’être.
Iel rit à la définition caduque de ce qu’iel est, aux yeux de Kasmeer. “Is that all I am to you?” Reyes ne regarde pas les gens dans les yeux, parce qu’iel n’aime pas ce qu’il y voit: son propre reflet. Mais Kasmeer la punaise, la supplante et même si iel pourrait la retourner sans mal, iel se laisse être supplanté, à sa mercie. “The one that makes everything go away?” Nouveau rire bref, reniflement dédaigneux. “Please.” Incapable de faire disparaitre sa propre existence. “I can’t make myself disappear.” La phrase est partie. “I can’t make your troubles disappear.” Ses mains voyages sur ce corps tagué des astres, glissent sur les strass de la tenues, de la real skin, trouvent la limite de la robe et s’aventurent sur la peau dissimulée, humide. Iel plaque doucement Kash contre ellui, leurs hanches qui s’entrechoquent. “I’m your troubles tonight.If no one had stopped you, would you have killed him ?I’m going to kiss you.” Une de ses mains se libère du bas du dos où ses empreintes digitales ont échouées, et se glisse dans les boucles blondes humides, se plaque contre le crâne avec une assertivité certaine.
Reyes ne sait pas comment aimer.
Iel ne sait que baiser.
Pourtant, dans la gestuelle terriblement brusque, iel embrasse Kasmeer sans fureur.
Iel l’embrasse dans un long baiser, lèvres qui s’écartent, langue qui voyage. Iel trouve le tranchant des incisives de Kasmeer, et arrête de l’embrasser quand elle se recule par besoin d’air. Iel ne lui laisse pas l’opportunité d’aller très loin, plaque son front contre celui de de Kash, la regarde dans les yeux. A cette distance, si proche, iel ne peut plus voir son propre reflet, ne voit que les iris confectionnées de celle qu’iel n’aurait jamais pensé rencontrer. “I’ll go kill him right now, if that's what you want. But you like your carpet and if not the drugs nor the songs can makes your troubles go away, I’ll fuck your brain out. I’ll fuck you until you can’t breath, can’t think, can’t even be sad anymore. Deal?


plus de douceur dans ce monde
ni même entre elleux

12 février 2079 | 01h23 |
japantown, le luxe de Kasmeer


thomas bombadil
M. Kasmeer Shepard
   https://never-fade-away.forumactif.com/t176-kasmeer-shepard-impu

M. Kasmeer Shepard

beyond the shadow you settle for, there is a miracle illuminated

aesthetic :
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 ROIQJBD
carte :
the sun
files :
259
€$ :
3325
pronoms inrp :
she ; her.
métier(s) :
popstar ; primadonna girl ; sweetheart de night city ; diva adorée des médias ; supernova en lutte contre sa propre fin.
allégeance(s) :
le coeur loyal à sa famille éclatée ; filiation de substitution trouvée chez les aldecaldos ; enfin libérée de l'ombre de la n54.
icône :
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 YYwRVLn
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 68lidrv
pseudo :
fio
pronoms irl :
she / they
crédits :
kit de dingo par reyes <3 et gif par magnusedom

Un-Understood
tw
drogue, alcool, sang, dissociation, ptsd.

Kasmeer sonde le visage de Reyes dans l’attente de sa réponse, les pupilles juste assez brillantes pour ne pas révéler la supplication silencieuse. Mais rien ne vient si ce n’est le silence révélant sa propre honte, hm comme un dernier coup pour l’achever, idiote aux étoiles dans les yeux et aux émois insensés. Elle se laisse aller sous les caresses et les baisers, animal bien dressé, la main de Reyes sur sa tête comme une couronne trop lourde à porter. Ses yeux lae fixent encore un temps, à tenter de sonder son visage faute de comprendre ses paroles, mais tout ce qu’elle voit c’est une autre muraille. À quoi tu penses, Reyes, qu’est-ce qui se passe dans ce silence où rien ne franchit tes lippes ? Mais elle reste muette, se cache dans ce même comportement en miroir, la question prise en otage dans la gorge avec tout le reste. Il y a une boîte où l’on range ce genre de pensées, les idées naïves qui n’ont rien à faire dans la réalité, les rêves et les voeux avortés, tout ce qui a un jour compté et n’est plus que de la terreur étouffée. Poser des questions est tout aussi terrifiant que d’en connaître les réponses. Peut-être qu’elle n’a pas envie de savoir à quoi ose rêver Reyes, par peur de ne pas y exister - ou d’y exister comme à cet instant, le corps et le coeur lourds dans la baignoire. Il y a des choses qu’on tait, faute de savoir les nommer. La boule dans sa gorge et les doutes dans son ventre sont juste là pour lui rappeler le contour de ces choses inavouées, silhouettes de sentiments assassinés avant d’avoir pu germer sous les néons de Night City.

Et tout se déforme, devient chimère. Reyes rit - chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin. Kasmeer ne sait pas si elle a vraiment mal, ou si la douleur était déjà là avant, avant que ses doigts ne passent sur sa peau et la réveille. Ses gestes sont doux, pas ses mots. Eux sont durs et froids, à des années-lumière comme les étoiles qu’elle prétend côtoyer. Pourtant elle s’agrippe à lui, plante ses ongles dans la chair de ses épaules pour y laisser sa marque éphémère. Ses hanches dansent, se pressent contre les siennes tandis qu’elle sent les nouvelles constellations dessinées sur son corps comme de nouvelles brûlures. Corps immergé, pourtant tout le derme est en feu. Tout crame de l’intérieur. Do you want to be more than this ? Qu’elle souffle contre ses lèvres entre deux baisers, avant que l’air ne vienne à lui manquer, avant qu’iel ne la laisse plus respirer. More than my troubles ? Pour lae mettre à l’épreuve, sans savoir ce qu’elle a à promettre. Pas de récompense, pas de gros lot. Tout ce qu’il y avait à prendre est déjà pris, volé, ruiné, il n’y a plus que cette fortune sans sens et ce corps qui appartient à toustes sauf elle. Alors elle préfère étouffer, sa langue rencontrant la sienne, plus aucun mot à susurrer parce qu’il n’y a plus rien à dire entre elleux qui ne viendrait pas les déchirer. Ses mains appuient contre son corps sous le sien, semblant d’ascendant, à se casser les lèvres contre les siennes trop sèches comme du papier de verre, et chaque caresse une nouvelle collision.

Quand iel la s’écarte et la laisse enfin respirer, juste une goulée d’air, elle lui en veut presque. Ses yeux entrouverts lui lancent des éclairs, car c’est tout ce qu’elle cherche. Et c’est trop simple, trop facile, et le front de Reyes contre le sien est soudainement trop proche lui aussi. Alors elle se redresse, déesse surplombant son domaine, juste pour le toiser et évaluer cette promesse qu’iel lui fait. You’d do that for me ? Kill, fuck. La différence lui paraît infiniment fine à cet instant. Mais il n’y a plus de désir dans son regard, l’électricité a court-circuité. C’est la peur qui revient à grande vitesse, la terreur soudainement régurgitée après s’être échappée de cette boîte qu’on avait promis d’oublier. Alors c’est trop. La baignoire déborde, le coeur aussi. Elle sent un torrent se coincer derrière ses lèvres - sait pas si c’est le bad trip qui la rattrape ou juste la nausée de trop de non-dits. Mais elle se redresse brusquement, les mains plaquées sur la bouche, les yeux écarquillés, et soudainement tout l’horrifie et la répugne, et l’eau qui continue de lécher ses côtes et ses cuisses l’embrase comme sur un bûcher. No no no, fuck. La robe trempée pèse sur ses membres, chaque strass un boulet. Elle ressemble plus à un spectre qu’à une poupée. Fuck him. Fuck you. Fuck all of you. Elle commence à se lever, les mains appuyées sur la baignoire et Reyes sans distinction. Tente de sortir de l’eau et échoue une première fois, glisse contre la paroi comme un paquet de chiffon humide, puis recommence aussi maladroitement pour s’écraser violemment sur le sol froid de la salle de bain. Allongée, les membres écartés, un rire naît dans le fond de sa gorge sans parvenir à franchir ses lippes, coincé comme le reste. Elle se marre silencieusement, des larmes perlant aux coins des yeux, ses genoux seulement beaux parce que la real skin protège des bleus. You’re not listening to me, Reyes. You’re here and you’re talking about killing this dude and then fucking me - and then what ? What will you do, huh ? Même elle ne sait pas ce qu’elle réclame. Tout sauf ça, peut-être. You say you can’t make yourself disappear, but I see you, I see you disappearing all the time. I don’t fucking know where you are. Ses mains glissent, viennent cacher ses yeux pour ne la laisser plus voir que du noir. Toujours mieux que les étoiles qui y dansent, et les espoirs avec. Elle rit encore, de sa propre naïveté peut-être, le goût des lèvres de Reyes encore sur les siennes.  


i'm as far gone as they say
i can't fake the daytime
found an entrance to escape
into the dark, got false lights for the sun
it's an artificial nocturne

février 2079 | japantown


c. disaster (r)eyes & tiababylo
Reyes Rez
   https://never-fade-away.forumactif.com/t973-reyes-rez-fnfn-1fn-2

Reyes Rez

twink's protector

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even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 REYES-IMG
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the lovers
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538
€$ :
8519
pronoms inrp :
iel (il - elle accepté)
métier(s) :
jardinnier.ère, plant merc, dealer
allégeance(s) :
Night Corp [employé.e]; Valentino [historiquement]; Voodoo [poison master, de coeur], Biotechnica [anciennement]
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poison
even the auto-translator can't understand us - kasmeer - Page 2 68lidrv
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gan-sha
pronoms irl :
elle/she
crédits :
tiababylo (avatar + image), VHS STILLS (icone)

un-understood
tw
drogue, coups, sang, langage explicite, gore


Do you want to be more than this ? More than my troubles ?” Reyes enregistre à peine la question, toute puce neuronale déconnectée quand Kasmeer l’embrasse. Quelque part, comme une sonnerie diffuse, il y a un signal d’alarme qui s’éveille, la panique de ce que ça représente, cette question. Pourtant, Reyes est incapable de faire la distinction entre le pic d’angoisse et l’accélération de son coeur dû à la présence de Kash sur ellui. Reyes est incapable de lire le piège qui se trouve dans la question, quand elle est ainsi contre lui, à marquer sa possessivité dans un mensonge corporel. “Yes”, s’échappe d’une lippe à l’autre, un souffle à peine audible, résonne mille fois entre la faïence.
Réalisant sa faute trop tard, incapable de rattraper l’air, l’exclamation, iel lui mort la lèvre inférieure, la serre plus fort, ses doigts qui s’aventurent sous la robe humide, tire sur la sous-vêtement trempé. L’eau rend tout plus compliqué, bataille de gestes, lutte des envies.
Reyes, vraiment, sur le moment, dirait oui à tout ce que Kasmeer lui demande. Elle le sait, de manière inconsciente. Même quand elle se redresse et le regarde avec ce dégoût qui lae révulse, lui donnerait envie de disparaître dans son propre intérieur. Ego tout petit, recroquevillé en un coquillage périmé. “Yes.” Iel le répète, parce qu’iel aime déstabiliser Kasmeer, faire vaciller la lumière de l’étoile, pour qu’elle soit confondue avec un satellite. Au moins ça lui offrirait l’illusion que Kash ne peut que tourner autour d’ellui, centre de cet espace froid et vide, l’un.e sans l’autre.
Le dégoût ne s’arrête pas là.
Comme si Reyes avait dit l'impensable, dans une ville où l’inimaginable se produit à chaque coin de rue. Dans chaque baignoire.
Kasmeer se recule, juste assez pour que Reyes voit sa propre expression surprise/blessée/eventrée quand elle jure, se débat, s’appuie sur lui, lui fait perdre appui, boire la tasse. Ses membres trouvent celleux de Kasmeer, lui offre le soutien qu’il faut pour qu’elle sorte du bain, la pousse presque hors de l’eau.
Iel est à bout de souffle, et Reyes tarde à remonter sur le bord de la porcelaine, reste dissimulé ainsi de la vision de Kasmeer. Sa tête tourne et iel la tuerait, pour dissimuler l’affront.
Mais Reyes est incapable de faire le moindre mal à Kasmeer.
Physiquement.
Iels excellent à se blesser en présence de l’autre.
Iel ne relève la tête que quand le rire cristallin fait écho dans la salle de bain.
Et là,
là,
Reyes se rappelle pourquoi iel aime ne peut pas se passer de Kash:
Elle est folle.
Iel l’a compris il y a quelques temps, entre toutes ses soirées où les souvenirs diffus et délicieux effaçaient la beauté chromée de Kasmeer, pour ne laisser que les actes nauséabonds dont elle est tout autant capable. Reyes porte une main sur le bord de la baignoire et s’extirpe, pour s’y appuyer, sans en sortir, regarde la sirène échouée sur la réalité. “And then what ? What will you do, huh ?” Il n’y a même pas une seconde de battement. “I’ll take care of the body.” Réponse à côté, réponse tronquée, comme s’iel pouvait faire disparaitre le corps de Kasmeer, au lieu de ce Jon dont elle s’accroche.
Comme s’iels pouvaient s’engueuler à propos d’un type pareil.
Reyes l’aurait déjà oublié, si la douleur n’était pas dans ses jointures et ses phalanges.
Dans ce qui lui sert de coeur.
You say you can’t make yourself disappear, but I see you, I see you disappearing all the time. I don’t fucking know where you are.” Reyes n’a pas de réponse, se contente de froncer les sourcils, pendant que Kasmeer rigole dans sa solitude.
Iel l’observe, la regarde en silence.
La déception se mue en autre chose, serpent fatigué, serpent esseulé.
I see you too”, commente enfin Reyes, quand la folie prend une inspiration. “You’re crashing. You’re fading.” Sa tête repose contre son poignet, son autre main qui s’étire en dehors de la baignoire, les quelques gouttes qui tombent sur les formes de Kasmeer. “No one in their right mind would like me.” Et peut-être que Kash a raison, qu’iel disparait par intermittence. Parce qu’iel ne ressent rien quand iel dit ça, immunisé depuis longtemps à son propre dégoût. “That’s okay, I’ll take you broken any day. Means I can reach you.” Alors que tout ce qui l’atteint, maintenant, n’est que l’ombre de son bras projeté par les lumières, et l’eau qui coule, goutte à goutte, sur Kasmeer.
Parce que Reyes ne pleure pas.
Jamais.
Même quand son âme hurle de le faire.
Sorrows on mute.


plus de douceur dans ce monde
ni même entre elleux

12 février 2079 | 01h23 |
japantown, le luxe de Kasmeer


thomas bombadil
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