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Even the homes we found in people needs good foundations / ft. Zola
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Zacarias D. Salva
   https://never-fade-away.forumactif.com/t1078-zacarias-d-salva-en
online

Zacarias D. Salva

standing on the edge, looking into the deep, frightened by all the promises he cannot keep

aesthetic :
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carte :
the sun
files :
423
€$ :
5031
pronoms inrp :
[MASCULIN] il.
métier(s) :
[SERGENT] pour les Aldecaldos, bras droit de Reed. Psychologue officieux du camp, non affilié par la sécu' et toujours à faire des heures supp'. Paquet d'endorphine ambulant.
allégeance(s) :
[SONORA CLAN] [ALDECALDOS] A vida a muerte. Bien pote avec les [VALENTINOS], généralement ouvert aux discussions/alliances intergangs. A plutôt en horreur les [MÉGACORP]
icône :
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pseudo :
disaste(r)eyes.
pronoms irl :
féminin (elle).
crédits :
disastereyes (kit entier) tiababylo. (code sig) jdmorganz & tomshiddles (gifs CS & sig)

mention de meurtres/violence physique, cigarette


like drowning

don't wanna come up for air


Thanks for being part of the family, and doing what you do.

Et même si Zola l'avait dit avec le plus de sincérité dont il était capable, avec cette volonté indubitable de te faire comprendre combien tes actions, tes mots, avaient une importance capable de changer la face du monde pour bon nombre de personnes... Ça n'avait pas eu l'effet qu'il avait sûrement escompté.

Le silence avait duré de ton côté, suite à ses mots, alors que tes yeux s'étaient relevés, réellement surpris, légèrement écarquillés. Tu ne t'y attendais pas, et avec ça, la claque derrière, le tourbillon, la trappe sous les pieds qui se dérobent pour te faire tomber dans l'eau gelée. Ça réveille et ça fait mal quand même.

Comment ils appellent ça déjà ? La mémoire kinesthésique. Tu en avais une excellente pour la visuelle, une très bonne aussi pour l'auditive, la seconde sans doute même plus performante que la première. Mais c'était pour te souvenir en général. Les choses gravées, c'était la dernière, la plus rare. La mémoire qui retient à travers l'action, les sensations. Une façon plus fort, selon toi, de marquer un esprit, de ramener dans des souvenirs et de faire mal.

L'odeur de ton propre sang, la texture des draps blancs aseptisés, la peau chaude de la main de quelqu'un d'autre, la chaleur piquante de larmes salées sur tes propres joues.

Ça sort comme ça vient, sans filtre.

He's the one who found me, you know. When I was- C'est lui qui m'a trouvé, tu sais. Quand j'étais-

Tes yeux fixés sur un point dans le vide, alors que tu portes ta cigarette à tes lèvres, tire une bouffée sans conviction, la main qui retombe - aussi mécaniquement qu'un robot. Tu ne sens plus la brûlure de la tequila sur ta gorge, l'odeur de la clope.

Fui un idiota. J'étais imbécile.

Lâché mécaniquement, les iris toujours fixés sur le placard sous les verres, dont tu ignores le contenu, mais tu le fixes tellement intensément, qu'on pourrait croire que c'est une porte directe vers les souvenirs qui ont pris ton cœur en otage, juste un instant.

I was terrified. J'étais terrifié.

Mourir, tout perdre, lui inclus. Mais surtout, le poids de la culpabilité au réveil, de l'avoir poussé, d'avoir cherché plus loin quand tu aurais pu t'en contenter à l'époque. L'impression de l'avoir brisé, ta faute d'avoir décidé d'aller presque crever au fond d'une ruelle.

I lost my shit. J'ai pété un câble.

Discours confus, cousu par bouts sans queue ni tête. La poigne de ta main sur le col de cette enflure, le bruit du coup du feu qui résonne et ricoche entre les caravanes. Le visage de Reed. Le reste. Le reste...

Tu t'interdis d'y penser, t'agrippe à quelque chose dans cette pente avant de complètement perdre pieds. Un sourire t'extirpe, un naïf mais fragile, un déçu - envers toi-même - et un coupable.

Some days, it feels like- Certains jours, on a l'impression que- Tu expires un coup, amusé par ton imbécilité, fatigué par t a vulnérabilité, accablé par ta culpabilité. I just failed. J'ai juste échoué. A lot, you know ? Beaucoup, tu sais ?

Tu relèves enfin les yeux, sort définitivement des eaux ténébreuses qui menaçaient, où tu as finalement pieds, à mieux y regarder. Ce sourire rassurant, éclatant, que tu sais sortir même après le pire - toi-même, tu n'as aucune idée de comment tu fais ça.

Sorry, you meant to be nice and I was gloomy. Désolé, tu voulais être sympa et je suis devenu lugubre.

Un petit rire pour désamorcer le tout. Légèrement faux.

Thank you. I don't know if I deserve those words but they're sure heard. Merci. J'sais pas si je mérite ces mots mais ils sont de sur entendus.

Tu reprends un shot de tequila, tend le verre pour quémander un autre - vital, à ce stade.

Please don't- Do what we do. You and I. S'teuplait, fais pas- ce qu'on fait. Toi et moi. Tu le regardes, conscient qu'il sait que vous et deux, êtes très similaires. Don't reassure me with long rants on what I just said- I don't need to hear it. Let's just talk about something else. Me rassure pas avec de longues tirades sur ce que je viens de dire- J'ai pas besoin de l'entendre. Parlons juste d'autre chose.

Un autre sourire, plus solide, maintenant que tu es sur la terre ferme, à regarder au loin le tourbillon de tes émotions, que tu gardes à distance raisonnable pour l'instant. Peut-être que tu en parleras à Reed, un de ces quatre. Peut-être jamais, plus probablement. Que malgré les rires, les sourires, les réveils à deux, les mains... Tu y penses encore.


Zacarias ft. Zola

Don't remind me, of minding my own business, don't try to find me, I'm better left alone in this



14 juin '79 | Atlantis

@tiababylo




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FEELING

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Zola Shepard
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Zola Shepard

Follow me into the depths of hell, maybe we're already in it and too close to tell

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the magician
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4135
€$ :
13179
pronoms inrp :
[he - him - il] homme cisgenre.
métier(s) :
mercenaire de profession, à l'appât du gain des plus gros contrats sur le marché, tu as délesté un peu ce manteau pour être fixer, loyal propriétaire du club l'Atlantis.
allégeance(s) :
allégeance sous les insignes de la Snake Nation et des Aldecaldos ; il t'arrive de prendre le thé avec les Tyger Claws quand les couteaux ne sont pas tirés.
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tiababylo.
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elle/she/her
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tiababylo. ∷ disaste(r)eyes (gifs)

We are blood, we are family

hail, hail the black sheep


tw
alcool, cigarettes, mention de tentative de suicide

Il y avait des changements qui, parfois, mettaient du temps à s'opérer. Comme un sortilège qui ne devait s'activer qu'à un certain moment dans l'histoire pour permettre aux héros de se sortir d'un mauvais sort ou d'un mauvais coup. Ce genre de magie était spéciale, elle avait un goût de bon timing, un goût de quelque chose de prémédité, comme si le destin l'avait voulu de cette façon. Zac était un peu comme ça, selon toi. Quand tu l'avais vu pour la première fois au camp, tu n'avais pas forcément senti les effets de sa présence tout de suite, peut-être parce qu'il venait d'arriver, pour plein de raisons sur lesquelles tu n'avais pas de visuel réel.

Mais sa présence, à la suite de tes venues, s'était vite fait sentir. Ce petit rayon de soleil. Une blague par ci, une blague par là, des sourires par ci, de sourires par là. Sur lui comme sur les autres. Tu avais senti le changement, comme si le charme avait décidé de s'opérer, comme si c'était le moment où la magie opère, et que c'était maintenant que tout commençait. Tu n'avais rien à râler de ta période chez les Sonorans, où tu l'étais à 100%, tu avais eu des expériences fabuleuses, des moments aussi déterminants pour le reste de ta vie que des moments d'apprentissage, des moments plus traumatiques, des moments de chagrin, tu ne râlais de rien de cette période.

C'était parfait, pour toi, à l'époque. De cet ado qui n'avait jamais eu l'occasion de l'être, de cet adolescent qui n'avait pas eu droit de l'être jusqu'à ce moment là, jusqu'au moment où Reed a accepté que tu fasses parti de la famille, jusqu'au moment où tu as fait tes premiers raids, tes premiers échecs. Il y avait beaucoup de première fois sur ce temps là. La première fois où tu as pu te sentir comme l'adolescent que tu étais. Tu ne regrettais rien. Mais tu pouvais sentir le changement au camp quand un certain Zacarias avait fait son apparition dans la famille.

C'était un changement. Un bon changement.
Tu avais su deviner le bon qu'il faisait dans ses actions mais pas uniquement, dans ces actions à effet de retardement, sur les conséquences de ces dernières. Plus de sourires, plus de rire, une cohésion bien plus unifiée, une voix diplomate à celle plus impulsive de Reed, un complément parfait à sa personnalité plus abrasive. Tu n'aurais sans doute pas vu meilleur bras droit pour Reed à la façon dont Zac brillait par sa personnalité solaire. Il avait cette douceur dans le regard qui disait qu'il était l'homme à qui parler quand ça n'allait pas, qu'il était aussi celui à faire des cachoteries et des conneries quand le soleil se couchait.

Il y avait aussi l'air de celui qui prenait beaucoup, plus qu'il n'en pouvait peut-être. Un poids à responsabilité, un poste à responsabilité, une place avec des conséquences, et un rôle qui n'en manquait pas. Tu ne l'avais jamais vu chavirer, tu ne l'avais jamais vu vaciller. Parce que tu ne le connaissais pas parfaitement, loin de là, tu l'avais toujours vu solide, en rires et en sourires, à toujours avoir les bons mots. Pour toutes les fois où tu venais, tout du moins. Tu ne l'avais jamais vu vaciller, jusqu'à aujourd'hui.

Tu ne sais pas vraiment si ce sont tes mots qui ont fait pencher la balance dans sa tête, mais la culpabilité grimpe un peu, juste légèrement, touche la surface du bout du bâton, sans trop faire frémir la surface. Mais tu vois le changement, dans l'ambiance, dans l'atmosphère, sur son visage qui semble couvrir des millions de souvenirs, des millions de messages, des millions de mots, et peut-être même, des traumatismes. Vous en avez tous, plus ou moins gros, plus ou moins stigmatisants, plus ou moins ancrés dans la peau, dans la tête. Tu ne saurais deviner les siens, même avec ses mots, qui passent doucement à tes oreilles, sans que tu ne bouges.

Tu ne veux pas les deviner, non plus. Faire un jeu de devinettes sur quelque chose d'aussi poignant n'a aucun intérêt, et ta curiosité n'est pas si dévorante pour faire l'impair d'un message mal placé. Chaque mot semble tenir compte d'un nouveau moment, d'un nouvel instant, d'un nouveau souvenir, comme si le message désarticulé le ramène juste dans des tréfonds que tu ne saurais imaginé. Il y a l'envie, dans tes doigts, de le prendre dans tes bras, de lui dire que c'est pas grave. Que ça arrive, qu'on fait tous des conneries, qu'on fait tous des erreurs.

Et bordel, on a le droit d'en faire. On a le droit de se planter, d'avoir peur, d'être un con parfois. Tout le monde a le droit, et tu as l'impression que ses épaules sont trop lourdes de tout ce qu'il ne vocalise peut-être pas, d'erreurs qu'il prends sur son dos quand elles ne sont pas les siennes. Tu le vois vulnérable sous le poids des années, sous le poids de tant d'années à porter tellement de choses, tellement de bibelots de vie qui sont restés accroché à lui sans jamais s'en défaire. Par sentimentalisme, par culpabilité. Cette vulnérabilité te touche autant que celle que tu lui as découvert auparavant.

Et tu te reconnais, parfois, dans ses mots.

Yeah- I get that. Sometimes it-Ouais- je comprends ça. Parfois c'est-


Il y a t-il meilleur mot que celui qu'il a employé?

It's a lot. It's overwhelming.C'est beaucoup. C'est- étouffant.


Même toi, des fois, tu te sens au bord du gouffre. Même toi, tu sens ta culpabilité te ronger. Même toi, tu te sens parfois étouffé sous le poids de responsabilités. Parfois, c'est juste difficile, et il faut savoir souffler, il faut savoir s'autoriser la pause, le craquage, l'excuse de tomber pour mieux se relever. Parce que parfois, il faut tomber pour que ça aille mieux, tu le sais. C'est déjà arrivé. Tu lui offres un sourire, un sourcil arqué quand ils s'excuse. Evidemment qu'il le fait, tu aurais fait la même chose si les rôles étaient inversés. Vous êtes peut-être fait du même bois, tous les deux, plus proches que tu ne l'imaginais, plus similaires qu'escompter. Mais tu peux le voir, à la façon dont il parle, à la façon dont il t'arrête.

Il savait que c'était ce que tu allais prévoir de faire, alors que tu lui ressers un peu de tequila, d'essayer de le rassurer avec des beaux mots, parce que c'est ce que vous faites, aux autres. Est-ce qu'il a un jour eu ce genre de discours, cependant?

I won't.Je ne le ferai pas.


Même si ça te prends tout ce que tu as en toi pour ne pas le faire. Parce que tu as envie de le rassurer, parce que les mots sont parfois nécessaires, mais il est mieux placé que toi pour savoir ce dont il a besoin, et c'est quelque chose que tu peux respecter. Raison pour laquelle tu ne pipes pas plus de mots.

Don't apologize with me, though. You really don't fucking need to, not with me. Not for that.Mais ne t'excuses pas avec moi, cependant. Tu as vraiment pas putain de besoin de le faire, pas avec moi. Pas pour ça.


Il n'a pas à s'excuser de ressentir, de ressentir fort, d'avoir ces émotions qui surviennent de nulle part et viennent tout assommer. Il n'a pas besoin de ça, de s'infliger l'excuse quand il n'y a aucun mal de fait.

And you deserved those words, that's all I'm gonna say.Et tu mérites ces mots, c'est tout ce que je vais en dire.


Parce que la différence est notable, autant dans le camp que sur Reed lui-même. Tu le vois, tu l'as vu, tu le sens, l'ambiance est différence, les décisions aussi, et tout pour le mieux, vraiment pour le mieux. Pour ça, il mérite tes mots, il mérite ta sincérité, il mérite que tu lui offres. Tu ne les dirais pas, s'ils n'étaient pas vrai, parce que ce n'est pas ton genre de mentir, ce n'est pas ton genre de couvrir la vérité d'un mensonge. Tu ne sais pas vraiment bien mentir de toute façon, pas dans le privé, pas dans l'intime. Tu n'as jamais su.

Reed probably told you that, but I was a kid when I joined the Sonorans and took my name.Reed te l'a probably déjà dit, mais j'étais un gamin quand j'ai rejoins les Sonorans et pris mon prénom.


L'ancien nom sur le bout de la langue, reste logé là. Non pas parce que tu veux le garder un secret, tu lui diras s'il demande. Mais il a demandé un changement de sujet, et tu ne sais pas si tu vas sur la bonne pente, mais tu y vas, comme pousser par l'envie de lui offrir un peu de ce gosse qui était perdu et ne savait pas comme réagir, pas comment agir.

Fourteen, to be exact.Quatorze, pour être exact.


Assez grand pour comprendre les responsabilités d'adulte, trop jeune pour réellement les comprendre, cependant. Tu en avais déjà, avec tes sœurs, tu en avais avec les Sonorans. Tu voulais trouver ta place, trouver ton rôle, montrer que tu pouvais être utile, que tu n'allais pas être un boulet à leur cheville.

I was impulsive, sometimes- straight ass dumb. I was a lot of things I'm less today. I fucked up a few gigs, when I started, because I couldn't take an order- and yeah, Reed made me roll down that hill once.J'étais impulsif, parfois- un abruti en force. J'étais un paquet de choses que je suis moins aujourd'hui. J'ai fucké pas mal de gigs, quand j'ai commencé, parce que je pouvais pas prendre un ordre- et ouais, Reed m'a fait rouler de la coline une fois.


Et tu étais terrifié ce jour là. Pas uniquement parce que tu savais que tu allais prendre pour ta connerie, mais tu avais peur qu'on te lâche parce que tu étais allé trop loin. Parce que tu avais vraiment merdé, ce jour là, merdé comme jamais. A partir de ce moment là, tout a été différent. Tu as été différent. Tu as beaucoup appris de ce moment charnier, même avec le reste du trauma sous les doigts. Tu reprends une gorgée d'alcool, tire sur ta cigarette, éclaircis ta voix un instant.

But we did a gig once, where- it wasn't my fault, not entirely at least. Bad decision making, and you know, I was just a kid, I wasn't adult enough to know. But I didn't know better, it- was eating me alive.Mais on a fait un gig, où- c'était pas ma faute, pas entièrement. Mauvaise décision, et tu sais, j'étais juste un gosse, j'étais pas assez adulte pour savoir. Et je savais pas mieux, ça- me bouffait.


Tu t'en souviens comme si c'était hier, faute d'une mémoire qui ne connait pas l'imprécision, qui se souvient de tout comme si c'était hier, les détails flashy jusque dans la veste que tu portais ce jour là, le pistolet que tu tenais encore entre tes doigts, la culpabilité grandissante à mesure où vous reveniez au camp. L'ambiance pesante, étouffante, tes propres pensées en cavale. Tu te souviens du sang sur tes doigts, tu te souviens de l'odeur chaude de l'asphalte, tes genoux qui avaient mal, tu te souviens des larmes que tu refusais de lâcher.

Reed saw that.Reed l'a vu.


Evidemment, qu'il l'a vu. Il commençait à te connaître.

And I think that moment, when he took me elsewhere, when he told that it wasn't my fault, that was just a kid and that he was sorry he forgot I was a kid and he let me cry for minutes on end, in his arms, I think it's at that moment that I knew I could count on him. For everything.Et je pense que ce moment, quand il m'a pris à part, quand il m'a dit que c'était pas ma faute, que j'étais juste un gosse et qu'il était désolé d'avoir oublié que je l'étais et qu'il m'a laissé pleurer pendant des minutes, dans ses bras, je pense que c'est à ce moment que j'ai su que je pouvais compter sur lui. Pour tout.


You good kid. it's okay. I got you. I got you. Tu te souviens des mots, et en fermant les yeux, tu peux les entendre, un petit sourire aux lèvres.

Even when- I went to the city, took a job he never approved of- he was there. He was there when something happened to me and- I didn't know what to do except call for him.Même quand- je suis parti pour la ville, que j'ai pris un job qu'il n'a jamais approuvé- il était là. Il était là quand quelque chose m'est arrivé et- je savais pas quoi faire d'autre que l'appeler.


Un soupir sur le bord des lèvres, tu te ressers de la tequila sans t'en rendre compte, le verre bien vite vide quand tu l'avales d'une seule traite.

I don't know why I tell you that, it's not exactly the happiest thing but- yeah. Maybe it's just a way for me to tell you that if you need, I'm here. If you wanna talk about what went through your mind just now, I'm happy to listen, even if it's gloomy.Je sais pas pourquoi je te dis ça, c'est pas exactement le truc le plus heureux mais- ouais. Peut-être que c'est mon moyen de te dire que si tu as besoin, je suis là. Si tu veux parler de ce qui t'es passé par la tête là, je suis heureux d'écouter, même si c'est lugubre.


Vous vous connaissez pas tant que ça, mais tu le sais, vous êtes faits du même bois, et tu te reconnais ô trop bien dans ce qu'il te dit, dans ce qu'il avoue, dans ce que vous partagez.

Or I can give you a hug, if that's what you need. I've heard I give very good hugs.Ou je peux te donner un câlin, si c'est ce dont tu as besoin. J'ai entendu dire que je donne d'excellent câlins.


Un sourire sur les lèvres, le verre de tequila levé. Porte ouverte, pour lui.

ft. zacarias d. salva


15 juin 2079 | the atlantis | fin d'après-midi

@tiababylo | @pedrohub & @disaste(r)eyes.





Maybe together we can make our mark in the stars we embark And keep us together as the lights go dark


Zacarias D. Salva
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Zacarias D. Salva

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mention de meurtres/violence physique, cigarette


like drowning

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Il a essayé, et tu peux difficilement le blâmer. Toi aussi, quand on te dit d'arrêter, quand la situation n'est pas critique, tu essayes de finir sur un bon mot, un truc léger, appuyer le bon sentiment. C'est pas toujours facile mais tu essayes. Alors tu ne lui en veux pas de tenter aussi, même si pour le coup, malheureusement pour lui et toutes les bonnes intentions du monde - ça ne fait pas grand chose.

Ce n'est pas comme ça qu'on te drive, ce n'est pas la mention de tes exploits, de tes qualités, qui te fait avancer. Ça n'a jamais été le cas, sourd aux compliments, à fuir le jour de ta naissance pour ne pas recevoir une attention que tu ne saurais jamais qualifié de méritée. Quelque part, au fond, quand les circonstances sont bien alignées, que tes insécurités t'ont attrapé par les pieds pour te faire tomber, tu es toujours ce nouvel arrivé d'hier qui rase les murs.

Peut-être que c'était juste trop, tout de suite, avec le résumé de l'année que tu lui as fait. Ça t'a fait prendre conscience de la grandeur du merdier, de sa difficulté, de combien tu as été incapable de t'y opposer, pour le moment. Te sentir impuissant, surtout quand il en a du bien-être de ta famille, ça te colle une frousse vertigineuse.

En réponse à ça, tu allais attraper le shot de tequila à nouveau, mais Zola a capté toute ton attention avec quelques mots. Tu ne le coupes pas mais tu te fais une note mentale. Reed probably told you that [...] Tu pouffes doucement. Lot to assume Zola, "probably told you", for a man of a few words.

Tu l'écoutes avec attention, revenant à ta cigarette de temps en temps, qui s'était consumé de moitié quand tu avais oublié son existence, happé par des souvenirs désagréables. Tu ne résistes pas au réflexe de sourire, parce que l'anecdote est douce. Tu n'en entends jamais des comme ça. Et pour cause, ce ne sont que rarement, des mots doux quand on te parle de Reed.

En tant que sergent, loyal, depuis des années maintenant, mais aussi connu comme quelqu'un d'approchable et sympathique, les gens se confiaient en toi. Pensant peut-être que tu avais un pouvoir décisionnel sur lui - et tu en avais un, quelque part, mais de persuasion plutôt - tu en avais entendu de toutes les couleurs, des vertes, des pas mûres, des pourries. Tu en avais probablement entendu plus que beaucoup d'autres, même s'il avait un club de haters, tu ne pensais pas qu'ils en déblatéraient autant que ce que toi tu avais pu capter durant toutes ces années. Des plus chiants qui chouinent juste aux vrais dangereux, ceux dont tu sens sous le ton, l'envie sous-jacente de vraiment lui coller une bastos.

Tu n'avais jamais jugé quelqu'un à l'emballage, encore moins aux racontards, quand bien même les Sonorans avaient essayé à ton arrivée. T'effrayer. Ça n'avait jamais pris. Jamais.

S'il y avait bien quelqu'un dont la loyauté était exemplaire, surtout vu ton exposition aux remarques, c'était bien toi. Mais tu avais appris, presque avec l'expertise d'un homme politique à ce stade, à dévier, détourner, convaincre, questionner. Tu ne répétais que le strict nécessaire, tu avalais le reste. Et ça ne te faisait rien, parce que tu savais, tout au fond, tu savais. Ce qui s'était confirmé pour de bon au pied de la porte de son trailer cette nuit-là. La putain de certitude que le choix que tu faisais était le bon, le sergent comme Zacarias.

Putain, c'était ça, ce qui te drivait.

I've never heard that story. J'ai jamais entendu cette histoire. Un sourire doux, alors que tu écrases pour de bon ta cigarette dans le cendrier, rejoignant tes mains pour jouer avec tes doigts entre eux - un signe désormais limpide d'à qui tu penses, quand tu le fais, mais personne ne le sait. Thank you, really- I never hear those kind of stories. Merci, vraiment- J'entends jamais ce genre d'histoires.

Tu regardes tes pouces une seconde, reviens à lui rapidement. L'humeur plus légère qu'il y a quelques minutes.

I already know every fucking story the Sonorans have. This one- That would've been from Reed himself, and, well. Je connais déjà toutes les histoires que les Sonorans ont. Celle-là- Ça aurait pu venir de Reed, donc, bon.

Pas besoin d'appuyer plus sur ça, il a compris que tu sous-entends qu'on n'arrache pas des moments précieux comme ça de la bouche de Reed aussi facilement. Ou en tout cas, pas avant un Truth or Dare qui s'étend trop longtemps sur la longueur. La pensée te fait sourire plus fort - tu te reconcentres.

I don't like shutting people down but don't worry for the hug and- talking more. It's sweet though. I won't hesitate. J'aime pas couper les gens dans leur élan mais t'en fais pas pour le câlin, et parler davantage. C'est gentil. J'hésiterais pas.

Tu hésites, te demandant si ramener le sujet qui te vient sur le tapis est une bonne idée. Mais après tout, vous êtes pas loin du cœur ouvert, alors pourquoi pas ?

Let me guess though. The one who appointed you best hugger is biased because you sleep with him and also your netrunner ? Laisse moi deviner par contre. Celui qui t'a désigné meilleur donneur de câlins est biaisé parce que tu couches avec, et aussi parce que c'est ton netrunner ?

Tu ris un peu plus franchement, te levant pour te mettre debout au comptoir, envie de te dégourdir un peu les jambes, juste un peu.

You think those two will ever be able to be in the same room without killing each other ? Tu penses que ces deux-là seront un jour capables d'être dans la même pièce sans essayer de s'entretuer ? Tu te mords la langue, le sourire encore aux lèvres. 'Cause my guy ? Noooope, don't think so. Parce que le mien ? Noooon, je pense pas.

Véritablement curieux, sous le ton un peu plus léger de l'humour, parce que tu n'y as jamais vraiment songé, n'ayant eu que la perspective de ton côté, unique, biaisée, comme il a du la recevoir lui aussi, avec son propre filtrage. Il n'y avait plus vraiment de subjectivité dans ce cas-ci - mais héros malgré toi, tu aurais aimé trouver une façon de régler ce combat qui n'était absolument pas le tien.


Zacarias ft. Zola

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alcool, cigarettes, mention de tentative de suicide

C'était difficile, de te museler toi-même.
Il y avait, toujours, cette envie de rassurer la personne en face, celle de lui faire comprendre que ça allait aller, que c'était okay, que les erreurs arrivaient. Il y avait cette envie de faire disparaître l'appréhension et cette moue plus triste, plus torturée sur Zacarias. Mais il t'avait demandé de ne pas le faire. C'était difficile, parce que c'était terriblement instinctif, c'était juste naturel, pour toi, d'y aller, de foncer, parce que tu détestais l'idée que tes proches, que les gens que tu aimais, puissent se torturer.

Que toi, tu te tortures après des fautes que tu aurais pu faire, c'était okay, dans ta tête. Que tu passes des heures à ruminer une blessure, un mot dit en trop, c'était okay, mais que quelqu'un d'autre s'inflige cette souffrance? Tu avais du mal, tu avais énormément de mal à ne pas essayer de panser les plaies, de soigner les blessures, d'être là pour la personne dans tes mots rassurants, dans cette présence que tu voulais tendre. C'était pour ça que c'était aussi difficile dernièrement, avec Ezra. Non pas parce qu'il était difficile, mais parce que tu savais que tes mots ne servaient à rien.

Comment pouvais-tu ne serais-ce qu'envisager la douleur qu'il vivait à ce moment précis quand tu n'avais jamais perdu quelque chose d'aussi proche à ton coeur, si ce n'est lui, quand tu avais eu peur de le perdre pour de bon l'année dernière? Quelque chose d'aussi abstrait que le réseau, c'était difficile de le concevoir si e n'est peut-être dans la perte de ton travail, cette petite chose qui t'apportait autant de réconfort que de force quotidienne. Sans doute accro à ton job, on te l'avait déjà dit, bourreau du travail qui ne savait pas prendre de vacances, avait appris le concept avec Ezra dans ta vie.

C'était aussi pour ça que c'était difficile avec Zacarias, mais qu'il fut, pourtant simple, de dériver sur cette anecdote, sur tout ce qu'elle renfermait, sur tout ce qui composait votre relation avec Reed. Une relation qui n'avait pas été simple au début, mais qui, après quelques mois, s'était vite améliorée de la meilleure des manières. Cette anecdote avait été un point tournant pour toi, pour cet adolescent qui peinait à se gérer tout seul, devait veiller sur ses soeurs, ne gérait pas ses émotions, était non médicamenté.

Ça t'avait appris la résilience, oui, et que parfois ce n'était pas ta faute, mais ça t'avait appris que tu avais le droit de craquer, le droit de fondre en larmes, et surtout, que tu pouvais avoir confiance en Reed pour te rattraper si tu commençais à chuter. C'était ça, une famille. Ça t'avait appris ça. C'est pour ça que l'Atlantis était aussi important. Les mots de Zac te ramènent sur la terre ferme, un petit sourire sur tes propres lèvres.

I'm happy to share.Heureux de pouvoir partager.


Parce qu'elle était douce, et elle te réchauffait le cœur, même quand à l'époque, tu n'avais su que pleurer ces sentiments et ces émotions contraires. Un petit rire léger, les épaules soulevées à l'implication des mots de Zac.

He's a man of a few words, but each of them very important.C'est un homme de peu de mots, mais chacun d'eux sont très importants.


Tu l'avais appris par toi-même, à l'époque, que les mots de Reed, les bons mots, étaient rares, mais surtout précieux. Ça ne te surprenait pas qu'il ait gardé cette anecdote pour lui, secrète, parce que bien des Sonorans l'ignoraient, toi-même tu n'en avais pas pipé un mot quand vous étiez revenu au centre du camp. C'était un moment précieux, pour ton toi de quinze ans qui balisait à l'idée que Reed te foute dehors mais qui avait découvert une figure forte dans la personne de Reed, comme pour l'homme de quarante trois ans qui savait à quel point ça avait été pivot pour la construction de ta personnalité.

I've got a few more, if you ever want to hear it.J'en ai d'autres, si jamais tu veux un jour les entendre.


Ces anecdotes que tu gardais précieusement, mais que tu partagerais à qui demanderait d'en avoir. Tu n'étais pas secret, tu ne les gardais pas secrète par pur plaisir, tu étais ravi de les partager, de donner aux autres cette vision de Reed qui était bien loin de cette façade habituelle. D'un homme qui savait être doux, qui savait donner du réconfort, qui savait être là quand ça n'allait pas, qui connaissait les bons mots pour rassurer un gosse comme un adulte. Cette facette plus secrète.

Tu balayes le refus de Zac avec un large sourire, parce qu'il y a pas de mal. Tu as essayé, tu n'as pas pu t'en empêcher, et c'est okay que la réponse soit à la négative. Savoir qu'il n'hésitera pas - même si tu le sais, tu es pareil, il y a toujours l'hésitation. Pas l'envie d'être un poids, pas envie de déranger, pas envie d'être de trop. Tu peux le deviner, en tout cas, tu ne sais pas s'il est exactement pareil sur ce point, mais tu as le sentiment que si vous êtes similaires sur tant de points, ça ne serait pas déconnant que ce soit pareil là dessus. Un autre sourire, un autre rire, à sa remarque suivante.

Owwww. How did you guessed so easily?Owww. Comment t'as deviné si facilement?


Le rire est sincère, le sentiment aussi, parce que tu le sais, tu l'as déjà entendu. Il devait probablement savoir que tu pouvais l'entendre, mais tu l'as déjà entendu. Et le souvenir te fait sourire, le rappel de ses mots aussi. Tu sais qu'il est aussi biaisé que toi sur la question, mais il donne aussi les meilleurs câlins que tu as jamais eu. Ceux qui sont doux, dans le confort de votre lit, quand tes doigts glissent à peine le long de son bras, passent dans tes cheveux, quand tu murmures une chanson pour le bercer, quand il n'y a que quelques baisers, sur la peau, dans les cheveux. Quand tu serres aussi fort que tendrement par peur de le perdre, parce que tu ne veux pas le perdre.

Quand ses mains sont dans ton dos et que tu le sens serrer tout aussi fort. Ce sont les meilleurs câlins, ceux là. Ceux qui réparent, ceux qui guérissent, ceux qui te font tomber amoureux en boucle, à la chaîne, sans jamais t'arrêter. Ceux qui pourraient t'empêcher d'aller au boulot - et qui ont déjà réussis - ceux qui te donnent ce sourire niais rien que d'y penser. La question qui suit te pousse à tirer de nouveau sur ta cigarette, un peu plus fort, à inspirer profondément.

Tu ne sais pas.

I don't know, Zac.Je sais pas, Zac.


C'est cruel d'honnêteté, parce que ça te terrifie. Tu ne veux pas avoir à un jour faire le choix entre ta famille dans les badlands, et l'homme qui est l'amour de ta vie. Tu ne veux pas avoir à faire ce choix, et tu voudrais sincèrement que ça puisse marcher. Tu aurais vraiment aimé que ça n'arrive jamais, cette altercation entre Reed et Ezra, qu'il ne prononce pas ce prénom interdit, qu'il ne cherche pas la merde. Tu aurais vraiment aimé. Mais les choses sont différentes. Tu lui offres un sourire un peu penaud, avec un semblant de rire parce que tout ça te semble irréel.

I really wish it, though.Je le souhaite vraiment, par contre.


Souvent gardé sous silence ce souhait, parce que tu ne veux incomber personne de ce que tu souhaites à ce sujet, parce que tu sais que la montagne est immense et que tu n'as aucune idée de comment la surmonter.

Do you think we could make it work somehow? I mean- if you wish it too. I would understand you wouldn't want it. I know he fucked up really big. I was there.Tu penses qu'on pourrait faire en sorte que ça marche? Je veux dire- si tu le veux aussi. Je comprendrais que tu veuilles pas. Je sais qu'il a merdé sévère. J'étais là.


Instinctivement, tu remplies à nouveau les verres, parce que c'est un sujet sensible, mais t'es prêt à l'affronter. Parce que vous êtes là, le coeur ouvert, même si tu te prononces pas encore sur cette peur, réelle et tangible, qu'on te pousse un jour à choisir.

It can't be that impossible. Could it?Ça peut pas être si compliqué. Non?


ft. zacarias d. salva


15 juin 2079 | the atlantis | fin d'après-midi

@tiababylo | @pedrohub & @disaste(r)eyes.





Maybe together we can make our mark in the stars we embark And keep us together as the lights go dark


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