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Galilée - Georgia
2 participants
Reyes Rez
   https://never-fade-away.forumactif.com/t973-reyes-rez-fnfn-1fn-2

Reyes Rez

twink's protector

aesthetic :
Galilée - Georgia  - Page 3 REYES-IMG
carte :
the lovers
files :
432
€$ :
6669
pronoms inrp :
iel (il - elle accepté)
métier(s) :
jardinnier.ère, plant merc, dealer
allégeance(s) :
Night Corp [employé.e]; Valentino [historiquement]; Voodoo [poison master, de coeur], Biotechnica [anciennement]
icône :
poison
Galilée - Georgia  - Page 3 68lidrv
pseudo :
gan-sha
pronoms irl :
elle/she
crédits :
tiababylo (avatar + image), VHS STILLS (icone)

On fera le tour de Night City jusqu'à avoir l'impression d'avoir fait le tour du monde
tw
N/A


We can always be called worst.” C’est la magie des mots, des étiquettes, des insultes. Il y a toujours une expression pire que l’autre. Une manière nouvelle de blesser les autres. Un “Ah” lui échappe d’amusement au Reymeo. “I’ll allow it”, qui ne perd pas vraiment le nord. “Isn’t the guy saying that to a skull, tho?” Bon, Reyes peut accepter l’idée que ça soit dit à son tatouage sur le crâne, la tête de mort au milieu de son tournesol rouge vénère. “You ain’t Chinese because you don’t speak like them.” Une question d’accent et d’accent tonique souvent placé ailleurs en anglais. Reyes a pas de facilité de langage, mais iel a une bonne oreille pour ça, au moins. “And I mean, you spoke of Yakuza and Osaka.” Sans parler de son nom de famille et que Reyes l’a potentiellement cherché sur les réseaux, avant que le réseau n’abandonne Night City.
Bref, les questions de nationalité n’ont que peu d’importance pour ellui, où l'appartenance à un gang est beaucoup plus cruciale à ses yeux. Certains peuvent avoir envie de l’abattre juste parce qu’iel s’appelle Reyes. Et ellui peut avoir envie d’abattre quelqu’un juste parce qu’iel embête Georgia.
Pas de demi-mesure.
If someone bothers you, I’ll do it.” Haussement d’épaule sous la veste lourde de motard, l’évidence du monde, pour Reyes. “People here… they understand chrome better than a no.” La violence comme sous-titre, obligé pour la compréhension des uns. Reyes s’attend pas à ce que Georgia tombe que sur des bonnes personnes. Proie facile, tentante.
Même si elle ne manque pas de répondant sur les patronymes des gangs, que ça amuse toujours un peu Reyes. Ca pourrait être un affront, mais comme l’a si bien dit RR, il y a toujours pire. Reyes n’est pas du genre à prendre la mouche pour ça, sait que ça serait une manière stupide de mourir. Sait qu’il y a beaucoup de manières stupides de mourir, en a vu assez dans les rues de cette ville qui l’a vu grandir. Et en connaissant tout ça, iel est incapable d’avoir peur, comme Georgia qui lui renvoie le sentiment, visière contre visière. Reyes a une petite expiration amusée, le casque qui dissimule son sourire.
Iel se redresse quand la passagère regarde le reste de la ville, repose ses mains sur le guidon de sa moto. Le moteur gronde un instant, sans qu’iels ne démarrent. “There you go again with that word. What does it mean?” Iel a demandé à gauche à droite, sans avoir de réponse correcte, tant qu’iel ne connait pas la langue d’origine.
So, are we going there ?Somewhere I do feel safe.” Pour reprendre l’observation de Georgia. La moto reprend son mouvement, suit la sortie d’autoroute en descente, jusque Pacifica. “Places don’t make me feel unsafe. People do.” Iel ne précise pas qui, ne donne pas de noms même s’ils gravitent dans sa mémoire.
Reyes, surtout, a cette peur constante sous la peau, menace constante, alerte éternelle. C’est plus difficile sans le netrunning, sans ce filet de sureté. Mais personne ne lui a mis une balle dans la tête (avec succès) depuis 18 jours.
Un peu d’espoir.
La moto s’arrête peu de temps après, et cette fois-ci, Reyes embraie le pied. Le moteur s’arrête. Sous le silence se fait entendre le bruit des vague, à quelques enjambée de là, un sable dégueulasse, une jetée avec des stands visibles. “See, you spoiled all the fun.” Quand iel enlève son casque, le sourire disparait. Pourtant, il y a quelque chose qui reste dans ses kiroshis.

ft.    @Georgia Watanabe  


Chose promise, chose due.

bug + 18 | 13h37 |
all around NC


sir white rabbit (tumblr)
Georgia Watanabe
   https://never-fade-away.forumactif.com/t1132-georgia-watanabe-hy

Georgia Watanabe

everything is magic in the world the illusionist created, except for himself

aesthetic :
Galilée - Georgia  - Page 3 CeyIvo7
carte :
the moon
files :
215
€$ :
2345
pronoms inrp :
elle, she, her.
métier(s) :
[Exit la violoniste] [Enter la maladie, la rémission, la remise en question]
allégeance(s) :
DJZ, Trauma Team & Biotechnica.
icône :
Galilée - Georgia  - Page 3 2FHNIjw
Galilée - Georgia  - Page 3 68lidrv
pseudo :
rookie.
pronoms irl :
elle.
crédits :
tiababylo (kit).

Galilée

  @Reyes Rez    

You say you want someone to be wasting your time
Well I'm your partner-in-crime, you should fly away with me


TW ― maladie (leucémie et médicaments)

Problèmes d’identité, d’appartenance qui colle à la peau, tracas de ce siècle obnubilé à l’idée de mettre des gens dans des boîtes. Les frontières floutées. Les îles submergées. Georgia a toujours eu une certaine sympathie face à la situation des Voodoos, n’imaginant que trop bien ses archipels suivre le même sort. Les NUSA et le Japon ayant simplement les moyens de mettre en place des mesures de protection.
Imbroglio de situations, toutes plus complexes les unes que les autres. Au milieu d’elles, Reyes. Iel parvient à la surprendre, coup sur coup, situation sur situation.
D’abord avec Shakespeare.
Ensuite avec sa volonté de frapper des potentiels flirts.
... I didn’t thought you’d get that … Jolie surprise, qui s’entend dans le ton amusé de sa voix. La référence est ancienne, bien que classique. Dur à cuire et à enterrer, le William. Se demande si elle aura jamais l’occasion de lae surnommer Reymeo de nouveau - sans doute pas, mais au moins avait-elle son autorisation, du moins sa tolérance.

Yes I did, confirme-t-elle au sujet d’Osaka. Oui, elle ne ferait aucun effort pour rétablir l’entière vérité. Ses origines, sa culture étaient japonaises. Son mode de vie, ses pensées, ses actes, façonnés par les mœurs de l’empire. Le reste, c’était du bonus. De l’extra. Jamais complètement japonaise, jamais vraiment autre chose … c’était plus simple ainsi. Taire. Masquer. Désapprouver en silence.
Se promet de rétablir la vérité plus tard. Si l’occasion se présente.

La violence est revenue entre elleux ; sur celleux qui seraient susceptibles de s’en prendre à elle. Des si, des peut-être. Georgia ne pensait pas que la violence était la solution. Reyes était la violence. Donc … Reyes n’était pas la solution. Quand bien même celle-ci était offerte sur un plateau d’argent. What a mess … Des décennies que les hommes ne supportent plus de s’entendre dire non. Le début de la fin. L’égoïsme plutôt que le bien commun, soi plutôt que le voisin, prendre sans jamais donner.  I hope I’ll never have to call you. Pas dans ces conditions, pas avec la panne de réseau, pas avec un si terrible motif. Faudrait déjà qu’elle soit capable de sortir de son appartement, de rencontrer des gens. Et une fois que ça sera le cas, physiquement parlant, elle espérait ensuite ne pas rester si longtemps à Night City. Retrouver la santé, travailler, trouver un nouveau boulot par la même occasion. Avant de se barrer.

Même si pour le moment, elle n’avait aucun contrôle sur là où iels se rendaient. Georgia plaçait suffisamment de confiance en RR pour qu’iel décide de leurs destinations, du voyage qu’iels faisaient. A travers un quartier x ou y, elle ne pouvait pas faire grand-chose à part suivre ou deviner la suite.
Elle lae sent tenter de gagner du temps, alors qu’elle voulait simplement qu’iels reprennent la route - surtout après que Reyes tente de la convaincre de la dangerosité de l’endroit. A bunch of things, élude-t-elle sciemment, même si c’était également la vérité. Si sa question, sur la suite, demande une réponse claire, elle l’entend répondre quelque chose de tout aussi abstrait que sa précédente réponse. Touché.
Elle en apprécie le sens, pourtant. La portée de ses paroles, les insinuations qui en découlent. Pour ellui, peu importait l’endroit, mais les personnes autour. In other words, places don’t make you feel safe, people do … Well, I hope you’re surrounded by the best people.
C’était, assez étrangement, l’une des aspirations de Georgia. Elle, dont la sécurité dépendait presque entièrement des endroits où elle se tenait. L’appartement, City Center, l’hôpital, le théâtre. Avant ça, le conservatoire, un autre appartement, les magasins familiers, une routine bien ancrée dans ses déplacements. Georgia aimerait que son point de départ, son point d’arrivée, home, ne soit plus un endroit mais un sentiment, une personne.
Elle a cru l’avoir trouvé. Encore. Et encore.
Coeur miné des illusions brisées.

Pour le moment, home représentait Hawai’i, et c’était aussi pour cette raison qu’elle avait voulu rejoindre la plage en premier lieu. Pour se dire que c’était possible, d’y retourner. Alors, quand au fil des virages, c’est l’océan qui remplit peu à peu l’horizon, il y a son sourire qui s’étale à mesure sur son visage, l'impatience qui s'étale dans son palpitant.

Georgia ne perd pas de temps, une fois la moto sécurisée, pour en descendre et retirer son casque. Pour apprécier, un moment, le vent contre son visage et l’air salé contre ses paupières fermées.
Nooo, no, no, no. It’s even better than what I thought it’d be. Georgia ne voyait pas les déchets qui traînaient ici et là, ni l’insécurité tapie dans l’ombre. Ses yeux parcourent pourtant la jetée, à la recherche d’un endroit relativement vide, dénué de passants. Appréhension passagère quand il s’agit de partager ses plans.
Alright, I - uh … I’m gonna leave you for five, ten minutes … Son attention revient un instant sur Reyes, son sourire toujours aussi large - quoique désormais un peu gênée. I wanted to come around the beach to record some sounds. The wind. The waves. Pointe son cou en même temps que ses paroles, se rappelle un peu trop bien de l’avis de Reyes sur les enregistrements. En fait, ça l’arrangeait - ça faisait forcément moins de sons parasites potentiels. Pointe ensuite un banc à une vingtaine, trentaine de mètres d’elleux. I’ll be on that bench, and I should have enough material in a few minutes. Then, I’ll answer your question, Kahu. Avant de s’éloigner, elle lève le casque entre ses mains à hauteur de poitrine. I’m keeping it for now. Do you reckon I could break some knees with it, if need be ? Georgia n’attendait pas vraiment de réponse à cette question-là ; en revanche … oh and I want to hear your best theories about the Kahu thing, s’amuse d’un dernier tourment avant de rejoindre l’oasis au milieu de la jetée.



@tiababylo.