Monter pour mieux redescendre...

La timonerie atteinte, une fenêtre brisée et les mains rapidement misent sur le gouvernail en bonne pirate que la jeune femme pouvait être, Jessy eut un sourire amusé face à la vue. Qui aurait cru qu'un jour elle se retrouverait à bord d'un navire, en plein Watson. Personne. Le tableau de bord à porté de mains, la voleuse n'hésita pas, elle pianota au hasard sur ce dernier, appuyant un bouton là, puis ici, activant un levier puis un autre. Elle s'improvisa capitaine et experte en navigation sans pour autant obtenir la moindre réussite. « Mille millions de mille milliards de mille sabords de tonnerre de Brest... » Commenta t'elle entre frustration et envie de rire. Il fallait croire qu'elle était montée pour rien. « Uuuuuugh, bon bah il se débrouillera... » Maugréa t'elle un peu plus en activant un dernier levier sans que la moindre ancre ne soit descendue. Grand escogriffe.

Elle quitta la zone de contrôle dans un bâillement, à moitié distraite par les multiples insultes du Capitaine Haddock qui lui revenait en tête. Vieille perruche bavarde. Autant dire qu'elle en rigola toute seule alors qu'elle descendait les marches de l'escalier intérieur du bâtiment, profitant que ce dernier aille bien plus profondément que juste au niveau du pont. Concentré de moules à gaufres.

Il lui fallu quelques minutes pour finalement atteindre le niveau le plus bas, plongée dans la pénombre, Jessy activa son unique kiroshi afin d'obtenir un semblant de vision nocturne et continua son exploration, cette dernière basée sur un enchainement de direction plus hasardeuse les unes que les autres. Ce n'était pas comme si elle était pressée, ou encore moins inquiète, à vrai dire ce labyrinthe de couloirs commençait à légèrement l'ennuyer, déjà que venir pour une porte ne l'avait pas tant enchanté que cela, se faire abandonner en cours de route par son compagnon de chasse au trésor rendait la chose d'autant plus lassante.

Les mains dans les poches, distraite par son talkshow mental, Astrid manqua la crise cardiaque quand finalement elle croisa une âme au détour d'un couloir. « Bachi-bouzouk ! » S'exclama t'elle dans un sursaut de panique. « Purée Aki' ! Tu m'as fais flipper ! Ca fait deux heures que je te cherche ! » Toujours plus. « Il est pourri ton plan, y'a r ici ! » Elle avait beau râler, l'ensemble de son expression prouvait combien la voleuse ne cherchait pas particulièrement à être convaincante, plus amusée qu'autre chose. Les bonnes manières appliquées, elle jeta un coup d'oeil derrière son idiot préféré et commença à glousser. « Sont où tes potes ? La contre soirée était si nulle que ça que t'es tout seul ? » Hurluberlu.

Résumé : Jessy est repartie bredouille de la timonerie, sans réussir à activer quoi que ce soit depuis le tableau de bord. Elle redescend en passant par un escalier intérieur, jusqu'à se retrouver à un étage suffisamment bas pour se retrouver dans le noir. Elle active le seul kiroshi qu'elle a pour avoir une vision nocturne. S'en suit une petite vadrouille qui se termine en une petite crise cardiaque quand elle se retrouve nez à nez avec  @Akiro Hiroka, sans perdre le nord, elle l'embrouille avec tout son amour pour ce dernier.

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Aucune idée de à quoi s'attendre au sujet de ce Hiroka, mais Yoshino n'est finalement pas bien surprise d'avoir affaire à ce qui semble être un sale gosse mal élevé et mal luné. Ils sont tous comme ça, dans la petite friture des Claws - ceux qui n'ont aucun espoir de monter en grade tant qu'ils resteront aux prises avec cette insolence crasse qui leur donne l'impression d'être puissant. Pathétique. Elle roule des yeux, retenant de répliquer avec un soupir, plantée là sur le béton en contrebas.

Un autre type est entrain de dessouder des bouts de ferraille de la carcasse du bateau, pas loin du roi de la jungle sur sa liane. Elle les observe échanger en silence - ils se connaissent ? - et lorsque Hiroka lui montre son majeur d'un air de défi, ne peut réprimer une grimace de dégoût désabusée qui semble peu fidèle à son rôle de Firefly. Mais c'est plus fort qu'elle - les vieilles habitudes refont surface sans prévenir. Petit con.

Lorsque Hiroka descend pour lui filer entre les doigts, Yoshino lâche un souffle avant de partir à sa poursuite. Il disparaît par une fissure près du sol pour s'engouffrer dans le bateau, par laquelle elle passe juste après. Hors de question de le perdre de vue, elle a des ordres. Mais voilà - l'obscurité frappe tout à coup la jeune femme et sa cible a déjà disparu dans un vacarme sourd de bruits de pas qui résonnent sur le métal et d'échos de voix rebondissant sur les parois du bateau. Merde.

L'objectif reste de trouver cette foutue porte, finalement. Changement de plan - trouver la porte en premier, et potentiellement coiffer Hiroka au poteau elle-même lui semble plus judicieux. Activant ses optiques, les couloirs sont peu convaincants pour accéder à la cale principale. Montant un étage dans un escalier de tôle, Yoshino aperçoit alors une sorte de soupirail en haut d'un mur, donnant probablement sur la pièce inaccessible d'à-côté. Les booster de réflexes font leur taff - d'un bond, elle court et prend appui sur le mur pour se glisser par l'ouverture, se laissant tomber de l'autre côté dans une roulade habile.

La pièce ne semble pas plus intéressante, occupée de caisses en métal et en bois lourd - et toujours un étage trop haut pour la cale la plus basse. Ce sont des bruits sourds de bricolage d'une présence au-dessus de sa tête, à travers une trappe visiblement verrouillée, qui attire son attention. Yoshino se hisse sur l'échelle menant vers la trappe, déverrouille l'accès - et l'ouvre d'un coup sec pour se retrouver nez à nez avec... le type inconnu et son fer à dessouder (@rhil trasam). Oh. Bonjour. Mais c'est pas vous que je cherche, lâche-t-elle de son élocution peut-être un peu trop précieuse pour son look coloré, ses optiques brillant d'un bleu électrique dans la pénombre. Je crois qu'il m'a fait faux bond pour rejoindre son date, commente-t-elle, en levant le nez en entendant les voix étouffées des deux jeunes, non loin dans la structure. Yoshino hésite. C'est peut-être un bon move de se mettre quelqu'un dans la poche. Pour descendre, c'est par là, venez, fait-elle en faisant signe à l'inconnu de la suivre, léger sourire un tantinet snobinard aux lèvres, laissant entrapercevoir l'une de ses canines chromées. Qui sait, si ils finissent par devoir bouger des caisses en métal pour dégager cette fichue porte, des muscles ne seraient pas de trop.

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C’est vous la plus dangereuse de nous deux.  Vous croyez ? réplique Yoshino d’un air faussement innocent en laissant le type descendre derrière elle, souligné par un sourire amusé teinté d’une légère arrogance. L’est-elle ? Peut-être bien que c’est comme ça qu’on perçoit la fameuse Firefly. La gamine a fait un sacré boulot de rebranding sur sa divine carcasse, c’est un fait - “dangereuse” n’est pas exactement un adjectif que Yoshino aurait utilisé pour se qualifier, au meilleur de sa carrière.

Si la galanterie de lui avoir laissé les devants ne passe pas inaperçue - enfin quelqu’un avec un minimum de manières, dans cette ville de mécréants - Yoshino ne se formalise pas vraiment du changement de registre de langage. Aucune idée si elle est sensée connaître ce mec, et ce n’est pas exactement le plus gros de ses soucis dans cette cale puante. Observe les lieux de son côté en silence, les optiques scintillant de bleu électrique dans le noir pour mieux discerner le contenu de la pièce. Des caisses en bois, ou en métal, ou les deux peut-être. Du matériel de construction, des échelles, des câbles en métal tressé, laissés dans un coin. Une cale de bateau industriel comme on pourrait s’y attendre. Vous m’excuserez si je ne m’attarde pas une fois que vous avez trouvé celui que vous cherchiez. La voix de l’autre gars résonne dans un écho métallique derrière elle. Si je mets la main sur ce que Netwatch planque dans ce rafiot en premier, je n’ai plus de raison de jouer les babysitter, répond-elle d’un ton détaché depuis le coin opposé de la cale. Ça l’intéresse nettement plus que de filer Hiroka, effacer toute trace compromettante qu’il pourrait laisser, et ne pouvoir récupérer que les miettes du butin. Combien sommes-nous actuellement dans ce bâtiment ? J’ai compté quatre individus, nous compris. Yoshino réfléchit un instant, levant le nez pour scanner les coins du plafond de la cale. Écoute un instant les voix et les pas qui résonnent à l’étage. C’est juste nous quatre, confirme-t-elle après observation. Avant de se corriger. Pour l’instant. Pas impossible que d’autres vautours débarquent de la même manière si la rumeur avait autant couru à Night City.

Un sifflement résonne du côté du gars, alors que l’attention de Yoshino est détournée par un son creux. Un résonnement différent, sous sa botte, soudain. Cela fait cinq minutes que j’envisage de faire un trou dans le sol.  Pas sûre s’il plaisante, mais il marque un point. Elle l’entend sortir des outils de l’autre côté, mais Yoshino préfère soulever la plaque en métal rouillé tombé sur la source de son interrogation. Pousse ensuite une caisse, tant bien que mal - juste assez pour dégager une ouverture verrouillée, le long de la cale, près du sol. Ah-ha, chantonne-t-elle de son côté. Il y a une trappe ici, annonce-t-elle ensuite à son camarade, histoire de faire preuve de bonne foi. Il lui inspire un minimum syndical de confiance pour le moment, le partenariat lui semble avisé. Yoshino s’accroupit, avant de sortir une Mantis et de venir forcer le verrou.

Lorsqu’elle ouvre la trappe, agenouillée, Yoshino glisse la tête par l’ouverture avec précaution pour y observer le contenu. Et quel contenu. Je sais pas ce que vous avez de votre côté, mais je pense que vous voulez peut-être voir ça, fait-elle à l’adresse du gars, d’une voix calme. Expression sérieuse qui reprend le dessus sur ses airs de détachement arrogant - alors que dans l’espace de stockage qui s’est ouvert devant elle, dans un sentiment étrange d’être observée par des dizaines d’yeux sans âme, ses optiques scannent des rangées et des rangées de ce qui semblent être des droïdes désactivés. Il est en cale sèche depuis combien de temps, ce bateau ? lance-t-elle à l’adresse de son camarade, espérant qu’il aurait une potentielle réponse. Espérant que ce ne soit qu’un cargo abandonné - bien qu’elle ait un drôle de pressentiment que le contenu sinistrement déroutant de ce placard soit bien plus récent que le bâtiment de tôle dans lequel ils se tiennent.

J’crève d’froid, dans c’bateau de merde. J’crève d’froid, mais retourner sur mes pas, c’est tirer un trait sur l’butin. C’est refoutre la semelle dans la merde, l’odeur avec. Ouais, la vie bordélique, mais l’genre angélique, quand j’pense à Astrid, quelque part dans cette épave. Six pieds vers l'sommet ou six pieds vers la cale. J’sais pas. La seule donnée qu’j’prends en compte à cet instant précis, c’est l’intensité d’sa détresse, la contrainte de ses vices, et son goût hypnotique du vide.

Et j’me rappelle l’objectif.
Eh, réveille-toi, j’t’emmène vivre l’aventure. De c’genre d’conneries pour la sortir d’sa léthargie encore fragile. Les Kiroshi électriques qui n’visent plus qu’elle. Capable d’faire marche arrière et d’retrouver la sortie sans problème, mais sans plan de la bête, ça en d’vient une épreuve à part entière. Pas d’marquage, pas d’lumière. Qu’des bouts d’métal qui craquèlent sous mes pattes. Fakku, d’jà hâte de r’faire surface, l’butin en main. Ouais, j’m’achèterai l’plus grand des palaces, l’plus haut des penthouses.

Mais là. J’manque d’me pisser d’ssus. Quand elle débarque, qu’sa voix m’cueille aux oreilles.
L’cri zéro viril, l’monocâble manque d’trancher une part d’son âme, d’sortie, il illune la pièce d’son or et ça la rend divine dans ses teintes métalliques. J’la r’garde gueuler, avant d’la railler.

« J’leur ai donné tes infos. Ils s’sont mis à t’traquer. C’est ça qu’on avait dit, hein? Que j’crierai MOX. » Chasse à l'homme fictive, excuse débile, d'quoi pas lui prouver qu'j'ai galopé pour la r'trouver dès qu'elle s'est soustraite à ma rétine. « Oi! Tu crois quoi? Qu'des paumards s'seraient amusé à peindre des k'so d'flèches vers l'entrée? Tu crois qu'c'est si facile d'venir une légende? » Nan, que dalle. Mais la vie m'a appris à m'servir sur les corps à peine r'froidis. « Mais pourquoi on s'emmerderait? » Le ping m'permet d'y voir plus clair. Rien d'connecté, mais ça permet d'faire place nette sur les deux âmes deux étages plus bas. « Alors qui en a deux qui font l'sale boulot pour nous? » Mes doigts cherchent les siens, serrent fort, et l'entrainent dans ma course à travers une première trappe. Plus on approche, plus l'cœur bat fort. Après, quoi? J'sais pas. Surement l'même schéma qu'j'reproduis chaque semaine. J'me fouterai d'eux, j'les mettrais hors circuit, et on r'partira l'ventre moins creux.

Ping.
On s'rapproche.
Nos deux corps habiles et amoindris n'tardent pas à filer par une brèche. Plus qu'un étage qui nous sépare. D'ici, les bribes et les pas s'rapprochent. Incapable d'discerner clairement c'qui se dit, mais j'les reconnais bien. Ces k'so d'Firefly et Trasam. Pattes de félins, sans un bruit, j'me faufile jusqu'à la trappe fraichement forcée, pour les apercevoir juste à mes pieds. Le r'gard cherche celui d'Astrid. Sourcils froncés, j'lui fais signe. Alors, c'est quoi la suite?

résumé:

Le cri d'Akiro gravé à jamais dans son esprit, Astrid prit le temps de bien enregistrer ce doux spectacle avant de se marrer aux réponses de cet idiot. « Pas mal, pas mal. On bouge du coup ? » Question rhétorique. Sa main dans la sienne, Astrid en fut presque surprise, c'était... Nouveau. C'était chaleureux, assez pour lui faire oublier ce froid qui ne la quittait plus depuis qu'elle essayait de ralentir sur les aérosols.

M'enfin. Occupée à se la jouer passe murailles et passe partout, Astrid haussa un sourcil quand finalement ils arrivèrent à cette trappe murale, celle menant aux deux autres explorateurs. Pas certaine d'avoir été repérée, ils auraient pu rester là, attendre que les deux autres continuent à leur mâcher le travail, mais à quoi bon ? Alors que c'était justement le moment de se permettre de s'inviter à la fête.

« Ils ont intérêt à être sympas tes potes... » Qu'elle murmura pour Akiro, juste avant de s'incruster dans la salle, sans chercher à être discrète, à vrai dire c'était plutôt le contraire, ne pas les surprendre, ne pas leur donner une raison de la pointer dans un réflexe nerveux que bien trop de personnes dans cette ville pouvaient avoir. « Oui bonjour, enchantée, faites pas attention, on fait que passer. Très joli cuir. Très sympa le bandana. Voilà, voilà... » Qu'elle se permit de déblatérer en se rapprochant gentiment des escaliers juste repérés, ceux à côté d'un homme qui pendant un instant la fit freezer.

Instant de doute. Ca venait d'où cette impression de déjà vu ? Pourquoi cette impression de familiarité ? Cela ne lui revenait pas, sa mémoire à la masse, ses traumas enterrés sous toutes les drogues prises à l'époque pour oublier cette mort frôlée. Personne.

« Oui pardon, poussez moi, excusez vous... Merci d'avoir faire le serrurier, très aimable toussa toussa...» Qu'elle continua de blablater pour que sur un malentendu, elle puisse assez les embrouiller, histoire d'atteindre leur objectif. Elle s'invita à descendre les premières marches de ce fameux escaliers, ce dernier très rapidement en colimaçon, le fond trop lointain pour être aperçu. Okay, ça c'était... Intéressant. Et étrange, mais bon... l'aventure !

Grand sourire aux lèvres, Astrid offrit un regard remplit de malice à Akiro. Elle marqua une petite pause le temps de glousser et de le pousser en arrière pour subitement se mettre à courir dans les escaliers, commençant une descente folle. « Le premier arrivé a gagné ! Si tu utilises ton monocâble t'es un gros naze ! » Gueula t'elle en arrière alors qu'elle était concentrée à détaler quatre marches par quatre marches.

Une course qui dura pendant bien trop d'étages...

Elle arriva... deuxième. Le blâme allant à sa condition d'highrider. Ce traitre de corps de faible.

Le souffle éclaté, et ses jambes en train de la tirailler, Jessy marqua une courte pause une fois le fond de ce trou infernal fut atteint. « Uuuuugh... J'te- jure s'il y avait un- ascenseur- je pète un boulon- » Articula t'elle entre deux crises d'asthmes effleurées.

Bon sinon. C'était quoi ce délire ? Pourquoi étaient ils en train de patauger dans bien trop d'eau, ses genoux submergés. Un seul couloir, une seule option, Astrid continua à avancer, jusqu'à arriver dans cette grande salle. Bonne hauteur sous plafond, bien large comme il le fallait et surtout avec tellement de caisses ici et là, tellement de grands contenants en verre aux formes diverses, la plupart brisés, avec un vieux fond d'eau encore présent à l'intérieur de ces derniers. « Euuuuuuuuuh... Okay ? » Astrid commença à rire, parce que cela avait toujours été ainsi, un film d'horreur la faisait rire. « Ca va Aki' ? Tu me clames pas entre les doigts hein, si tu te pisses dessus je le saurais ! L'eau ne ment pas ! » Argumenta t'elle avec ce début de fou rire.

Résumé : Jessy suit @Akiro Hiroka. Ils rejoignent  @Firefly Fifth et  @Rhil Trasam (qu'elle ne reconnait pas/ne veut pas reconnaitre à cause de certains traumas (sorry Rhil)). A l'aise, elle tente de les embrouiller verbalement alors qu'elle rejoint les escaliers menant plus bas. Faible face à une pensée intrusive, elle provoque  @Akiro Hiroka pour faire la course jusqu'en bas (elle perd, aka le seum et les poumons en pls).

Description de la salle juste après le bout des escaliers :
- De l'eau jusqu'aux genoux
- 3-4m d'hauteur sous plafond
- 10-15m de large
- Plein de caisses
- De grands contenants en verre, plusieurs formes, la  la plupart brisés avec un restant d'eau dedans selon comment ils sont brisés, si encore debout ou sur le côté, etc